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Aus Romano-Guardini-Handbuch
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* [1939-026] [Französisch] [[N. Polet]]: Rezension zu: Guardini, Les signes sacrés, in: [[Nouvelle revue théologique]], 66, 1939, S. 863 [ne aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=BSEUAAAAIAAJ | * [1939-026] [Französisch] [[N. Polet]]: Rezension zu: Guardini, Les signes sacrés, in: [[Nouvelle revue théologique]], 66, 1939, S. 863 [ne aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=BSEUAAAAIAAJ | ||
** S. 863: „ Dans l'ordre surnaturel où nous sommes, toute chose a signification et valeur divine. Il y a donc une manière chrétienne de regarder le monde et d'en pratiquer le mystère. M. Guardini nous montre ici des exemples très suggestifs comment nous devrions faire toujours et partout pour que le «Christ nous soit tout en tous». Il interprète pour nous le message catholique du signe de la croix, de la main, de la marche, des degrés, de la porte, de la flamme, des cloches, de l'espace, du temps. Je ne cite que ces quelques titres. Livre fondamental donc, à recommander spécialement à tous ceux qui enseignent la liturgie et les sacrements, puisque c'est en vertu de ce puissant réalisme spirituel qu'en ces matières nous nous écartons du ritualisme et du symbolisme subjectiviste des protestants.“ | |||
* [1939-027] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Von heiligen Zeichen, franz.., in: [[Revue des lectures]], 1939, S. 421 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=V8paRSGG2ZIC | * [1939-027] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Von heiligen Zeichen, franz.., in: [[Revue des lectures]], 1939, S. 421 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=V8paRSGG2ZIC | ||
** S. 421: "Romano Guardini est un allemand, professeur de philosophie catholique à l'Université de Berlin. Mais il n'est allemand que par naturalisation. Il est né en Italie, à Vérone, en 1885. Et cette origine explique son nom. Elle explique aussi sa manière, son style fleuri, poétique, évocateur, son talent d'entrer en communication avec son lecteur. Il lui parle des signes sacrés: signe de la croix, agenouillement, coulpe. Mais d'autres choses se rangent sous la même rubrique. Monter un escalier, rester debout, franchir une porte, cela doit nous élever vers Dieu, nous avertir d'être prêts à l'action, nous séparer du monde extérieur. Les cierges symbolisent le don de nous-mêmes à Dieu; le feu est l'image de notre âme qui doit brûler pour le Seigneur; les cendres nous rappellent la mort; l'encens représente la prière ; la flamme, c'est Dieu qui est lumière et chaleur. Puis l'auteur parle des objets liturgiques autel, pain et vin, calice, patène, cloches et c'est le cas pour lui de nous exhorter au service du divin Maître. Chaque chapitre est très court et bien vivant. L'ouvrage a été si remarquablement traduit (même adapté parfois) qu'on croirait qu'il a été écrit en français." | ** S. 421: "Romano Guardini est un allemand, professeur de philosophie catholique à l'Université de Berlin. Mais il n'est allemand que par naturalisation. Il est né en Italie, à Vérone, en 1885. Et cette origine explique son nom. Elle explique aussi sa manière, son style fleuri, poétique, évocateur, son talent d'entrer en communication avec son lecteur. Il lui parle des signes sacrés: signe de la croix, agenouillement, coulpe. Mais d'autres choses se rangent sous la même rubrique. Monter un escalier, rester debout, franchir une porte, cela doit nous élever vers Dieu, nous avertir d'être prêts à l'action, nous séparer du monde extérieur. Les cierges symbolisent le don de nous-mêmes à Dieu; le feu est l'image de notre âme qui doit brûler pour le Seigneur; les cendres nous rappellent la mort; l'encens représente la prière ; la flamme, c'est Dieu qui est lumière et chaleur. Puis l'auteur parle des objets liturgiques autel, pain et vin, calice, patène, cloches et c'est le cas pour lui de nous exhorter au service du divin Maître. Chaque chapitre est très court et bien vivant. L'ouvrage a été si remarquablement traduit (même adapté parfois) qu'on croirait qu'il a été écrit en français." | ||
* [1939-028] Rezension zu: Guardini, Von heiligen Zeichen, in: [[Seele]], Regensburg, 21, 1939, 8/9, S. 256 [Gerner 399] - [Rezension] - [noch nicht online] | * [1939-028] Rezension zu: Guardini, Von heiligen Zeichen, in: [[Seele]], Regensburg, 21, 1939, 8/9, S. 256 [Gerner 399] - [Rezension] - [noch nicht online] |
Version vom 11. Februar 2024, 18:26 Uhr
- [1939-026] [Französisch] N. Polet: Rezension zu: Guardini, Les signes sacrés, in: Nouvelle revue théologique, 66, 1939, S. 863 [ne aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=BSEUAAAAIAAJ
- S. 863: „ Dans l'ordre surnaturel où nous sommes, toute chose a signification et valeur divine. Il y a donc une manière chrétienne de regarder le monde et d'en pratiquer le mystère. M. Guardini nous montre ici des exemples très suggestifs comment nous devrions faire toujours et partout pour que le «Christ nous soit tout en tous». Il interprète pour nous le message catholique du signe de la croix, de la main, de la marche, des degrés, de la porte, de la flamme, des cloches, de l'espace, du temps. Je ne cite que ces quelques titres. Livre fondamental donc, à recommander spécialement à tous ceux qui enseignent la liturgie et les sacrements, puisque c'est en vertu de ce puissant réalisme spirituel qu'en ces matières nous nous écartons du ritualisme et du symbolisme subjectiviste des protestants.“
- [1939-027] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Von heiligen Zeichen, franz.., in: Revue des lectures, 1939, S. 421 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=V8paRSGG2ZIC
- S. 421: "Romano Guardini est un allemand, professeur de philosophie catholique à l'Université de Berlin. Mais il n'est allemand que par naturalisation. Il est né en Italie, à Vérone, en 1885. Et cette origine explique son nom. Elle explique aussi sa manière, son style fleuri, poétique, évocateur, son talent d'entrer en communication avec son lecteur. Il lui parle des signes sacrés: signe de la croix, agenouillement, coulpe. Mais d'autres choses se rangent sous la même rubrique. Monter un escalier, rester debout, franchir une porte, cela doit nous élever vers Dieu, nous avertir d'être prêts à l'action, nous séparer du monde extérieur. Les cierges symbolisent le don de nous-mêmes à Dieu; le feu est l'image de notre âme qui doit brûler pour le Seigneur; les cendres nous rappellent la mort; l'encens représente la prière ; la flamme, c'est Dieu qui est lumière et chaleur. Puis l'auteur parle des objets liturgiques autel, pain et vin, calice, patène, cloches et c'est le cas pour lui de nous exhorter au service du divin Maître. Chaque chapitre est très court et bien vivant. L'ouvrage a été si remarquablement traduit (même adapté parfois) qu'on croirait qu'il a été écrit en français."
- [1939-028] Rezension zu: Guardini, Von heiligen Zeichen, in: Seele, Regensburg, 21, 1939, 8/9, S. 256 [Gerner 399] - [Rezension] - [noch nicht online]