Vorlage:1953 Sekundärbibliographie Theologie

Aus Romano-Guardini-Handbuch
  • [1953-077] [Französisch] Roger Aubert: La théologie catholique. II. Les renouveaux liturgique et patristique, in: La Revue nouvelle, 18, 1953, S. 38 ff. [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=cmxduzxbOOAC; auch in ders.: La théologie catholique au milieu du XXe siècle, 1954 [Monographie] - https://books.google.de/books?id=4nwwAAAAYAAJ; zu Romano Guardini:
    • 1953, S. 38; 1954, S. 31: „de publications [(2) On trouvera les indications essentielles sur l´orientation du mouvement et sur ses principaux protagonistes dans l´introduction écrite par R. D´Harcourt pour la traduction francaise de L´Esprit de la liturgie de R. Guardini (Coll. Le Roseau d´Or, Paris, 1929), et dans l´article de A. Heitz, Dernières étpes du renouveau liturgique allemand, dans La Maison Dieu, n° 7 (1946), p. 51-73.]. Les principaux artisans en furent Romano Guardini, qui sut magistralement montrer comment les aspirations anthropologiques, sociologiques et existentielle de sa génération correspondaient à la vision biblique et liturgique du monde et de
  • [1953-078] [Französisch] Roger Aubert: La théologie catholique: III. Ouverture au monde moderne, in. La Revue nouvelle, 18, 1953, S. 161 ff. [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=cmxduzxbOOAC; auch in ders.: La théologie catholique au milieu du XXe siècle, 1954 [Monographie] - https://books.google.de/books?id=4nwwAAAAYAAJ; zu Romano Guardini:
    • 1953, S. 164; 1954, S. 48: „l´opuscule de Guardini, récemment traduit en francais, où sont abordés avec un accent nouveau les thèmes tant ressassés de la mort, de la résurrection, du jugement et de l´éternité [(5) Romano Guardini, Die letzten Dinge, Wurtzbourg 1941; trad. Franc., Paris, Éditions du Cerf, 1950.]
  • [1953-079] [Französisch] Roger Aubert: La théologie catholique: IV. Face à l´existentialisme et a l´oecuménisme, in: La Revue nouvelle, 18, 1953, 10 (Oktober 1953), S. 272 ff. [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=cmxduzxbOOAC; auch in ders.: La théologie catholique au milieu du XXe siècle, 1954 [Monographie] - https://books.google.de/books?id=4nwwAAAAYAAJ; zu Romano Guardini:
    • 1953, S. 279; 1954, S. 82: „Mais l´oeuvre qui, à l´heure actuelle répond le mieux à ces préoccupations de notre époque esst sans dout celle de Romano Guardini [(12 On trouvera une bonne introduction à la lecture de son oeuvre dans les articles de H. Engelmann, Romano Guardini, dans Études, 1946, t. CCLI, p. 355-372, et 1947, t. CCLII, p. 20-39). Cet allemand d'origine italienne, qui jouit dans son pays d'une audience extraordinaire à la fois comme philosophe, comme théologien, comme psychologue, comme critique littéraire et artistique et comme auteur spirituel, n´etait jusqu´à ces dernières années guère connu chez nous que comme l´un des pionniers du mouvement liturgique. Le public d´expression francaise vient seulement de le découvrir grâce à la traduction de plusieurs de ses ouvrages les plus caractéristiques. L'Essence du christianisme, La Vie de la foi, et surtout Le Seigneur, ce livre qui ne rentre dans aucune catégorie précise mais qui marquera sans doute comme un des grands livres de notre époque. Ce qui attire, chez Guardini, c´est le souci constant d´envisager la situation de l´homme en face de Dieu non pas d´un point de vue statique mais d´un point de vue vivant et même dramatique, en rappelant sans cesse que „Dieu n´est pas seulement un LUI tout-puissant, mais le Tu vivant“[(13) R. Guardini, Initiation à la prière, trad., franc., Paris, Édit. Alsatia, 1951, p. 36.]. Ses thèmes préférés sont le destin de l'homme, la liberté de l'être spirituel, la rencontre de la personne humaine et de la grâce, le tout traité toujours sous l'angle de ce qu'il nomme le «vivant concret». Il a retrouvé dans la liturgie et la Bible une manière non plus abstraite mais historique de concevoir le dogme de la Rédemption: comme une lutte dramatique engagée entre Satan et Dieu et terminée par la victoire du notons en passant que, dans Le Seigneur, la considération Christ-Littérature du …“
    • 1953, S. 283; 1954, S. 87: „Mais si cet aspect de l´existentialisme n´a pu que renforcer l´intérêt des théologiens pour l´étude des perspectives communautaires du christianisme, cet intérêt date de plus loin et il a des sources plus immédiatement religieuses. C´est au lendemain de la guerre précédente que Guardini écrivait cette phrase souvent citée depuis: «Un événement religieux d'une portée immense est en train de s'accomplir l'Église connaît un réveil dans les âmes».(18)"
  • [1953-080] Willy Bremi: Der Weg des protestantischen Menschen: von Luther bis Albert Schweitzer, 1953 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=QtcMAQAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 35 f.: „Romano Guardini – um an dieser Stelle einem katholischen Forscher das Wort zu lassen – zählt auf: „Die derbe Diesseitigkeit eines Rabelais, die Skepsis eines Montaigne, den philosophischen Deismus eines Charron, den Stoizismus eines Justus Lipsius, die Glaubenslosigkeit der ,libertins', den Atheismus eines Vannini.» Erst die Gegenreformation läßt wieder große katholische Persönlichkeiten auftreten, unter ihnen Vinzenz von Paul, Franz von Sales, Fénélon und die einflußreichen spanischen Mystiker Therese von Avila und Johannes vom Kreuz. Guardini schließt seine Aufzählung mit dem Satz: „Da der Protestantismus (in Frankreich) zu keiner öffentlichen Macht werden konnte, kamen die ganz Europa durchlaufenden reformatorischen Antriebe als innerkirchliche Bewegungen theologischer und praktischer Art zur Auswirkung.» Diese Skizze entwirft Guardini zur Einleitung einer Darstellung Pascals. In Pascals Werk wurde der evangelische Einfluß auf das katholische Denken der Neuzeit am deutlichsten und am wichtigsten (Romano Guardini: «Christliches Bewußtsein; Versuche über über Pascal», 235 f.).“
  • [1953-081] [Französisch] Henri Daniel-Rops: Le porche du Dieu fait homme, 1953 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=NtoKAAAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 79 ff.: "Romano Guardini, dans une page profonde[(1) L´Esprit de la Liturgie, trad. R. d´Harcourt. Paris 1929], a souligné l´opposition, - apparente, il va de soi, mais sensible, - que existe entre le Christ de la liturgie et celui que nous offrent les évangiles, dans les soi, mais sensible, quatre livrets de l´Écriture, l´homme que fut Jésus est sans cesse présent et se laisse saisir; on le voit éprouver des sentiments humains d´affection ou de juste colère; il ne dédaigne pas de s'occuper de nourriture et de boisson; il marche à pied ou sur une monture, il suit les routes, il a chaud, il a froid ,il a faim, il a soif; son per- sonnage évolue dans un cadre historique que, par d'autres données profanes, on peut reconstituer; et toutes ces précisions concrètes contribuent fortement à imposer aux esprits la véracité de ces témoignages, comme à répandre dans les cœurs la contagion de l'amour. Le Christ de la liturgie est-il semblable? «Il est devenu maintenant le médiateur majestueux entre Dieu et sa créature, le grand prêtre éternel, le Maître divin, le Juge des vivants et des morts, le Dieu caché des espèces sacramentelles qui joint mystiquement dans son Corps tous les croyants, et les unit dans l'immense famille de l'Église, le Dieu-homme , le Verbe fait chair.““
  • [1953-082] [Französisch] Albert Decourtray: Foi et raison chez Malebranche, in: Mélanges de science religieuse, 10, 1953, S. 67-86 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=-M-MOrgjgX8C; zu Romano Guardini
    • S. 81: “Si la vérité «a voulu s'envelopper d'obscurité», dit Guardini, c'est pour que l'homme «puisse se refuser à elle, s'affirmer en face. d'elle et lui donner son congé»[5. R. GUARDINI, Le Seigneur, Alsatia, 1945, t. I., p. 130.] Car la vérité qui se révèle «a besoin pour pénétrer dans une âme, de bonne volonté et de docilité. La sainteté qui adresse son appel présuppose un coeur livré à l'amour». Quelle que soit l'exactitude de ces expressions, il est certain que l'«obscurité» dont on parle ici n'est en aucune manière synonyme d' «aveuglement». Ce terme signifie que la lumière est toute différente, transcendante, ineffable. Il s'agit, comme dit encore Guardini, d'une «intériorité lumineuse», d'un attouchement de la lumière divine»[6. Id. 141] L'âme doit «ouvrir les yeux, boire longuement cette lumière afin que tout devienne clair en elle, comme par la clarté d'un éclair»[7. Id., p. 177] «Croire, c'est avoir la clairvoyance de l'amour et la divination du désir»[8. Id., p. 141].“
  • [1953-083] Ernst Ludwig Ehrlich: Der Traum im Alten Testament (Beihefte zur Zeitschrift für die alttestamentliche Wissenschaft; 73), Inauguraldissertation, 1953 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=pMgTAQAAIAAJ, oder https://books.google.de/books?id=pybUtrCEMKEC; (Nachdruck) 2020 - https://books.google.de/books?id=OKXiDwAAQBAJ, S. 11 oder
    • S. 11: „GUARDINI2), der sich bemüht hat, die Unterschiede zwischen Traum und Vision zu klären, geht dabei von der folgenden Dantestelle aus, von der er annimmt, daß Dante wirklich ein visionäres Erlebnis gehabt habe, in welchem er das Wesen der Welt, den Sinn der Geschichte und den seines persönlichen Daseins erfaßt hätte.“
  • [1953-084] Heinz Flügel: Das rätselhafte Reden Gottes, in: Eckart, 22, 1953, S. 1
    • S. 1: "[1) Romano Guardini allerdings wagt in seinem Buch „Freiheit, Gnade, Schicksal“ die Frage: Werden wir nicht förmlich gedrängt, von einem Schicksal Gottes zu reden, und zwar von einem schlechthin tragischen Schicksal?" Und später: „Dieses Schicksal ist durch und durch 'tragisch'." Freilich: „Für das Wesen des Göttlich-Tragischen gibt es keinen Begriff.“ Guardini bescheidet sich deshalb, indem er dies Geheimnis den „Ernst von Gottes Liebe“ nennt.]"
  • [1953-085] Wolfram Gestrich: Der Friede Gottes und der Friede auf Erden, in: Peter Mennicken (Hrsg.): Der lebendige Frieden, 1953, S. 18-30 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=pogIAAAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 20: „Die Bergpredigt ist ja überhaupt, nach einem Wort Guardinis, eine „Erschütterung der Welt vom Himmel her“, und all diese Menschen und Bewegungen haben von dieser Erschütterung etwas verspürt.“
    • S. 25: „Der biblische Mensch, zumal der neutestamentliche, lebt jedoch ganz vom Ende, von der Erfüllung her. Das, was zeitlich gesehen, das „Eschaton“, das schlechthin Zukünftige ist, kann für ihn je und je erfüllte Gegenwart werden. Wenn wir vorhin mit Guardini von der Bergpredigt sagten, sie bedeute eine „Erschütterung der Welt vom Himmel her", so ist eben das auch hier gemeint: das eschatologische Heilsgut bricht als neue Dimension herein schon in die geschichtliche Gegenwart und durchdringt sie.“
  • [1953-086] Theodor Heckel: Liebe und Gerechtigkeit, in: Karl Janssen (Hrsg.): Dienst unter dem Wort eine Festgabe für Professor D. Dr. Helmuth Schreiner zum 60. Geburtstag am 2. März 1953, 1953, S. 72-81 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=EljkdfeS0dEC; zu Romano Guardini:
    • S. 77 f.: „Romano Guardini sagt in seinem Buch „Christus der Herr“: „Die Gerechtigkeit selbst müßte ersticken, wenn sie allein bliebe… Gerechtigkeit, die nur aus sich selber lebt, verkehrt sich in ihr böses Gegenteil.“ Er verweist auf den „gerechten“ Bruder im Gleichnis vom verlorenen Sohn. Und mit gleichem Recht betont er, daß die Gerechtigkeit erst von der Liebe die Voraussetzungen empfängt, um sich auswirken zu können, d. h. „die Augen der Liebe öffnen erst den Blick dafür, was jedem Menschen in seinem besonderen Wesen zukommt". Damit ist in der Tat das Kernproblem von der Botschaft des Evangeliums angesprochen Vergebung und Gerechtigkeit, oder wenn Guardini die Formel prägt: „Gerechtigkeit und was über ihr ist.“ Guardini überschreitet die bloße Addition, indem er ein reales Verhältnis zwischen Liebe und Gerechtigkeit sucht.“
  • [1953-087] [Französisch] Pierre Lorson: Défense de tuer, 1953 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=k2zKDwAAQBAJ; zu Romano Guardini:
    • S. ???: „La raison profonde de cette attitude nouvelle, c'est que nous sommes arrivés, comme dit Romano Guardini, à la fin des temps modernes. Une nouvelle époque commence. Les temps modernes se caractérisaient par l'ivresse de la science et de la technique. Il s´agissait d´ acquérir toujours davantage et d´augmenter sa puissance. Aujourd´hui le problème est autre: comment n´être pas dévoré par la technique et dominé par la puissance déchaînée? Il faut pour cela des attitudes ouvelles dans beaucoup de domaines, mais aussi dans celui de la guerre et de la paix. L´Eglise l´a compris une des premières.“
  • [1953-088] [Französisch] Henri de Lubac: Méditations sur l´ Église, Paris 1953, S. 16 und 18; 1962 [neu aufgenommen] - [Monographie] - [noch nicht online]; deutsch unter dem Titel: Betrachtungen über die Kirche, Graz/Wien/Köln 1954, zu Romano Guardini S. ??? [neu aufgenommen] - [Monographie] - [noch nicht online]; [Italienisch] unter dem Titel: Meditazione sulla Chiesa, Mailand 1963; 1965; 1978; 1979; 1980 u.ö. [neu aufgenommen] - [Monographie] - [noch nicht online]; [Italienisch] 1993, zu Romano Guardini S. 12 [neu aufgenommen] - [Monographie] - [noch nicht online]; [Italienisch] 2014 [Monographie] - [noch nicht online]
    • Französisch, S. 16/18: "Le fait que Romano Guardini célébrait il y a trente ans continue de s'affirmer avec une ampleur accrue: l'Église s'est réveillée dans nos âmes. Sa réalité se fait en quelque sorte plus intérieure à la conscience chrétienne."
  • [1953-089] Anton Müller: Die beiden Wege: Ehe und Jungfräulichkeit, 1953 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=BdQ6gE14sdMC; zu Romano Guardini:
    • S. 226 mit Anmerkung 10 auf S. 237: „Guardini definiert das Tragische als „die Ausweglosigkeit des Schicksals in einer Welt, die in sich selbst zugeschlossen ist, so daß der Mensch nicht von ihr an ein anderes appellieren kann.“ Diese Definition paßt ohne Zweifel auf die Situation der unfreiwillig ehelosen Frau, solange die Lösung des Problems im immanenten Raum der Welt gesucht wird, solange man eine rein natürliche Lösung versucht. Es ist nichts anderes als ehrlich, mutig und menschlich, dies einzugestehen und auszusprechen. Wie für das Tragische im menschlichen Dasein überhaupt so gibt es auch für die Tragik der ungewollten Ehelosigkeit nur aus der christlichen Wirklichkeitsschau eine Lösung, aber hier gibt es sie tatsächlich. Denn die obengenannte „Verschlossenheit (der Welt) gibt es nach der Offenbarung nicht mehr, denn in Christus ist die Welt offen geworden. Er ist wesenhaft `der Weg´ vom lebendigen Gott zu uns. Gang der Geschehnisse an den verborgenen Sinn der göttlichen Führung appelliert werden. Selbst noch das Schlimmste steht in der Vorsehung; selbst der dunkelste Untergang ist auf die Auferstehung bezogen"[10 Guardini in „Hochland“, 40. Jg., 2. Heft, S. 103].“
  • [1953-090] Karl Hermann Schelkle: Das Wort in der Kirche, in: Theologische Quartalschrift, 133, 1953, S. 278-293 [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=DuvKif-CPqgC
    • S. 287: „Die Botschaft hören und glauben heißt darum, die Wachsamkeit des Geistes haben, die die Wahrheit auch in ihrer Verborgenheit erkennt, die Ritterlichkeit des Herzens, die sie in ihrer Wehrlosigkeit aufnimmt; die Liebe, die da liebt nicht um äußerer Gestalt willen, sondern um der heiligen Innerlichkeit willen (R. Guardini).“
  • [1953-091] Michael Schmaus: Katholische Dogmatik, München 1953ff.
    • Erster Band: Gott der Dreieinige, München (5)1957 oder (6. erweiterte)1960, zu Romano Guardini S. 175, 181, 195, 210, 232, 265, 315, 326, 355, 386, 527, 430, 573, 579, 583, 592, 594, 606 [Gerner 77] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=CS48AQAAIAAJ
    • Zweiter Band,
    • Dritter Band,
      • Erster Halbband: Die Lehre von der Kirche, München (3.-5.)1958, zu Romano Guardini S. 234, 371 [Gerner 77] - [Monographie] - [noch nicht online]
      • Zweiter Halbband: Christi Fortleben und Fortwirken in der Welt bis zu seiner Wiederkunft. Zweiter Teil: Die Göttliche Gnade, München (5)1956, zu Romano Guardini S. ??? [Gerner 77] - [Monographie] - [noch nicht online]
    • Vierter Band,
      • Erster Halbband: Die Lehre von den Sakramenten, München (6)1964, zu Romano Guardini S. 27, 396f., 499, 519, 523, 778, 819 [Gerner 77] - [Monographie] - [noch nicht online]
      • Zweiter Halbband: Von den letzten Dingen, München (3/4)1953; (5)1959, zu Romano Guardini Widmung („Romano Guardini zu eigen“) [Gerner 179a] - [Widmung], darin zu Romano Guardini S. 16, 31, 38, 44, 54, 176, (186-189, 202), 259f., 278, 482, 534, 569, 623 [Gerner 78] - [Monographie] - [noch nicht online]
    • Fünfter Band: Mariologie, München (2)1961, zu Romano Guardini S. 4, 7, 81, 83, 128f. [Gerner 78] - [Monographie] - [noch nicht online]
  • [1953-092] [Niederländisch] Harmen Vos: Nieuwe Testament en mythe: het vraagstuk der ontmythologisering, 1953 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=owjstLANMlgC; zu Romano Guardini:
    • S. 59: „Zoals Guardini treffend zegt: „Hierin besteht eine der entscheidenden Einsichten des neuzeitlichen Menschen: dasz es weder um die Welt herum einen freien Raum gibt, worin Ueberweltlichkeit wäre, noch Lücken innerhalb der Welt, in die, als solches, Auszerweltliches eintreten könnte“[12 Romano Guardini, Welt und Person, 1940, S. 54].“
    • S. 62: „Zo b.v. Guardini, die een nieuwe godsdienstigheid zich ziet ontwikkelen[25 Romano Guardini, Das Ende der Neuzeit, 1950.] Er zijn symptomen , die er op wijzen , dat men het nihilisme te boven wil komen.“
  • [1953-093] Georg Wagner: Die Wärme der göttlichen Liebe, in: Der Volksbote, Innsbruck, 4. Januar 1953 [neu aufgenommen] - [Artikel] - [noch nicht online]

Rezensionen zu: Lucie Christine (1921)

  • [1953-094] Rezension zu: Lucie Christine, in: Anzeiger für die katholische Geistlichkeit, Freiburg im Breisgau, 62, 1953, 3 (März 1953), S. 61f. [Gerner 372] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-095] Heinrich Fries: Rezension zu: Lucie Christine, in: Theologische Quartalschrift, Stuttgart, 133, 1953, S. 375f. [Gerner 373, bei Gerner ohne Autorenangabe] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-096] Rezension zu: Lucie Christine, in: Seele, Regensburg, 29, 1953, 12, S. 385f. [Gerner 373] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-097] Maria Steinhoff: Rezension zu: Lucie Christine, in: Bücherei und Bildung = Buch und Bibliothek, 5, 1953, 5, S. 448 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=XFcuAQAAIAAJ oder https://books.google.de/books?id=sGoaAAAAMAAJ:
    • S. 448: „[...] 1921 lag die erste Auflage der deutschen Übersetzung von Romano Guardini vor. Guardini stellte in einem Vorwort das Tagebuch neben die Schriften der spekulativen Mystik des Mittelalters; er prüfte vor allem seine Echtheit und betonte das Fehlen jeglicher Sensation und die Bewährung des innerlichen Lebens in der Erfüllung der täglichen Pflichten. In der jetzt vorliegenden Ausgabe, der das Vorwort der 1. Auflage mit geringfügigen Änderungen wieder beigefügt ist, wird die Neuauflage damit begründet, daß im Leben dieser Frau »die christliche Wahrheit Gestalt geworden ist. Das Buch sollte in großen Büchereien, die einen ausgebauten theologischen Bestand haben, eingestellt werden.“
  • [1953-098] Rezension zu: Lucie Christine, in: Theologie und Glaube, Paderborn, 43, 1953, S. 201 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=vx1jArBFxcMC


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Rezensionen zu: Vom Sinn der Kirche (1921)

  • [1953-099] [Englisch] J. E. P. Butler: Integral Catholicism (Rezension zu: Guardini, The Church and the Catholic and The Spirit of the Liturgy), in: Integrity, 8, 1953, S. 45 f. [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=oEcw1JBYmj4C
    • S. 45 f.: „This is a reprint of two small books bound together. The first is an eloquent plea for a Catholic community as opposed to religious isolation, the second an equally eloquent exposition of the Liturgy as the communal worship of the Church. The titles of these works are unusually apt. The Church and The Catholic is a clear and loving explanation of what the Church means to the Catholic, and the Catholic to the Church - the development and enrichment of personality in communion with the Church, and the flowering of the Church in the perfection, individual and social, of its members. The Spirit of The Liturgy is not a detailed description of the corpus of the Liturgy but a penetrating study of its essential meaning. Of corrective value to contemporary activism is the final chapter on "The Primacy of the Logos over the Ethos." Altogether this is a small book but it is not fractional. It is a concentrated expression of integral Catholicism. Those who know Father Guardini will be glad that he is being kept in print. Those who do not should begin with this book. Father Guardini exemplifies excellently that richness and depth which is the distinguishing mark of German religious writing. „Religion“, he says, „needs civilization.“ Father Guardini has it, and the North American Church could use it. We have our own glories. The European does not ignore them. Nor does he ignore his own scandals. But we cannot live much longer on the innocence of adolescence. Either we learn the virtue of maturity or perish.“


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Rezensionen zu: Madeleine Sémer (1929)

  • [1953-100] Rezension zu: Klein, Madeleine Sémer, in: Anzeiger für die katholische Geistlichkeit, Freiburg im Breisgau, 62, 1953,3 (März 1953), S. 62 [Gerner 373] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-101] Marga Böhmer: Rezension zu: Klein, Madeleine Sèmer (1874-1921). Übers. aus d. Franz. U. Nachw. V. Romano Guardini, in: Buch und Bibliothek=Bücherei und Bildung, 5, 1953, 11, S. 1197 f. [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=J1guAQAAIAAJ oder https://books.google.de/books?id=cVwwAQAAIAAJ;
    • S. 1197 f.: „Es hat zu allen Zeiten im Bereich des Religiösen Menschen gegeben, die durch eine besonders große Sehnsucht nach dem Vollkommenen „dem höchsten Gut“, - wie Gott in der katholischen Sprachwelt oft genannt wird – gezeichnet waren. „Es ist jene Gesinnung, die ein Denken ohne den Schlag des Herzens, Wahrheit ohne Liebe, Sein ohne Wert nicht anerkennen kann“, sagt Guardini in seinem so schön ausgedeutenden Nachwort zum Tagebuch einer Frau, deren geistigen Weg wir als mystisch bezeichnen können. Das Leben Madeleine Sèmers führte aus Reichtum und Glück, aus vollkommener Gottferne, durch Armut und seelische Not zu einer innigen Verbundenheit mit Gott. Die Tagebuchaufzeichnungen vermitteln dem Leser diesen Lebensweg in Sätzen, die Klugheit, Klarheit des Denkens, Schlichtheit der Formulierung und tiefstes Erleben im religiösen Bereich miteinander verbinden. Ein Mensch, der so kompromißlos nach der Wahrheit verlangte, daß sein letztes Wort war: »Ganz gerade in die Wahrheit hinein! Ich sehe schon das Licht!« Ein solcher Mensch kann gewiß nur Lesern etwas sagen, die den gleichen Willen in sich spüren. Die Einsatzmöglichkeit des Buches, das ein geistiges Dokument ist, ergibt sich so von selbst: nur große Büchereien werden in der Lage sein, eine so außergewöhnliche Begegnung zu vermitteln.“
  • [1953-102] Heinrich Fries: Rezension zu: Klein, Madeleine Sémer, in: Theologische Quartalschrift, Stuttgart, 133, 1953, S. 375f. [Gerner 374, bei Gerner ohne Autorennennung] - Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-103] Rezension zu: Klein, Madeleine Sémer, in: Seele, Regensburg, 29, 1953, 12, S. 385f. [Gerner 374] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-104] Rezension zu: Klein, Madeleine Sémer, in: Theologie und Glaube, Paderborn, 43, 1953, S. 201 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=vx1jArBFxcMC


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Rezensionen zu: Wille und Wahrheit (1933)


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Rezensionen zu: Aus dem Leben des Herrn (1933/36)/Der Herr (1937)

  • [1953-107] Rezension zu: Guardini, Der Herr, in: Hirschberg, Frankfurt am Main, 6, 1953, 12 (Dezember), S. 192 [Gerner 333] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-108] Notker Krautwig: Bewältigt der moderne Mensch die Sünde, in: Geist und Leben, Würzburg, 26, 1953, S. 20-31, hier S. 23 (Bezug zu: Guardini, Der Herr) [Mercker 3051] - [Artikel] - [nicht mehr online]


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Zu: Augustinus (1934)/Rezensionen zu: Anfang (1944/1950)


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Zu: Franziskus/Der Spiegel der Vollkommenheit (1935)

  • [1953-111] Rezension zu: Der Spiegel der Vollkommenheit, in: Anzeiger für die katholische Geistlichkeit, Freiburg im Breisgau, 62, 1953, 7 (November), S. 172 [Gerner 338] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-112] G. F.: Rezension zu: Der Spiegel der Vollkommenheit, in: Archivum franciscanum historicum, 46, 1953, S. 494 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=b-MTAAAAIAAJ;
  • [1953-113] Rezension zu: Der Spiegel der Vollkommenheit, in: Bibel und Liturgie, Klosterneuburg, 20, 1952/53, 11 (August 1953), S. 350 [Gerner 338] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-114] Karl K. Friedrich: Rezension zu: Der Spiegel der Vollkommenheit, in: Welt und Wort, Tübingen, 8, 1953, S. 387 [Gerner 338] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=PDsQAAAAIAAJ
  • [1953-115] Rezension zu: Der Spiegel der Vollkommenheit, in: Hirschberg, Frankfurt am Main, 6, 1953, 12 (Dezember), S. 192 [Gerner 338] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-116] Fritz Kraus: Rezension zu: Der Spiegel der Vollkommenheit, in: Neue literarische Welt, Darmstadt, 4, 1953, 16 (25. August 1953), S. 14 [Gerner 338] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-117] Rezension zu: Der Spiegel der Vollkommenheit, in: Religion und Weltanschauung, Rosenheim, 8, 1953, 5 (September/Oktober), S. 199 [Gerner 338] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-118] Gisela Welsch: Rezension zu: Der Spiegel der Vollkommenheit, in: Buch und Bibliothek=Bücherei und Bildung, 5, 1953, 11, S. 1201 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=J1guAQAAIAAJ oder https://books.google.de/books?id=cVwwAQAAIAAJ:
    • S. 1201: „Eine sorgfältige und schöne deutsche Ausgabe des „Speculum perfectionis“ aus dem frühen 14. Jahrhundert. Sein Verfasser – oder zumindest Mitverfasser – ist Frater Leo, einer der engsten Vertrauten des heiligen Franziskus. Er erlebte mit wenigen anderen treuen Gefährten, wie mit der vom Großteil der Brüder geforderten und energisch betriebenen kirchenrechtlichen Ordnung der ursprünglichen, von Franziskus nur als lose Vereinigung gedachten Bewegung doch manches vom Urgeist, von der Urregel verloren ging. So blieb nach dem Tode des Ordensgründers ein Kern von Brüdern, die der neuen franziskanischen Generation warnend und beschwörend das Vermächtnis des Heiligen vorhielten. Aus diesem Anliegen heraus entstand die vorliegende Schrift, deren leicht polemische Note für den Leser unserer Tage ganz zurücktritt vor dem Eindruck, den die sanfte Unbeirrbarkeit bedingungsloser Christus-Nachfolge, das strenge Maß evangelischer Weisung „auf den Buchstaben, ohne Deutelei“ und die herbe Schlichtheit des Vortrags erwecken. Hier tritt uns der Arme von Assisi nicht nur als der liebliche Freund der Vögel und der glühende Beter des Sonnengesangs entgegen, sondern auch und vor allem als der demütig Opfernde und einsam Leidende, als der konsequent die Existenz Christi Nachvollziehende. Der „Spiegel der Vollkommenheit“ geriet jahrhundertelang in Vergessenheit, bis der französische Franziskus-Forscher Paul Sabatier ihn kurz vor 1900 wieder entdeckte. – Der Band, eine Neuauflage der Ausgabe von 1934, kommt für ausgebaute Religionsabteilungen größerer Büchereien in Frage.“


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Rezensionen zu: Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament (1936)

  • [1953-119] Theoderich Kampmann: Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Theologie und Glaube, Paderborn, 43, 1953, 4, S. 309 [Mercker 2906] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=vx1jArBFxcMC;
  • [1953-121] Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Anzeiger für die katholische Geistlichkeit Deutschlands, Freiburg im Breisgau, 62, 1953, 6 (Oktober), S. 150 [Gerner 319] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-122] Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Der Jungführer, Düsseldorf/Würzburg, 4, 1953, S. 182 [Gerner 319] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-123] Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Katholische Frauenbildung, Paderborn, 54, 1953, S. 876 [Gerner 319] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-124] Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Petrusblatt, Berlin, 9, 1953, 44 (1. November 1953), S. 12 [Gerner 319] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-125] Angelika Probst/Eckart Peterich: Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Religion und Weltanschauung, Rosenheim, 8, 1953, 4 (Juli/August), S. 160 [Gerner 319] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-126] Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Religion und Weltanschauung, Rosenheim, 8, 1953, 6 (November/Dezember), S. 234 [Gerner 320] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-127] Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Werkblatt der Arbeitsgemeinschaft katholischer Erzieher, Freiburg im Breisgau, 4, 1953, 2/3, S. 37 [Gerner 320] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-128] Rezension zu: Guardini, Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament, in: Werkhefte für katholische Laienarbeit, Aschaffenburg, 7, 1953, 6 (Juni), S. 142 [Gerner 320] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Rezensionen zu: Die letzten Dinge (1940)


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Rezensionen zu: Glaubenserkenntnis (1944)

  • [1953-132] [Englisch] Edwin E. Aubrey: Rezension zu Guardini, The Faith and Modern Man, in: The Journal of Religious Thought, 10, 1953, S. 173 f. [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=SPPiiiHv9VcC
  • [1953-133] [Englisch] Publisher´s note (zu: Guardini, Faith and modern man), in: The Catholic World, 177, 1953, Mai, S. 159 [neu aufgenommen] – [Rezension] – [noch nicht online]; wieder in: Book Review Digest, 49, 1954, S. 388 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=-q8YAAAAIAAJ:
    • 1954, S. 388: "Guardini sets out to re-examine and clarify for modern man various fundamentals of the Catholic faith, and in particular those that are challenged in the modern world. Among his subjects are: Adoration, Revelation, Providence, Dogma, Purgatory, Satan, the Saints. His aim is to answer the questionings and doubts prevalent in modern man by thinking them through in the light of Christian knowledge and experience."
  • [1953-134] [Englisch] W. Norris Clarke: Rezension zu: Guardini, Glaubenserkenntnis, engl. (The faith and modern man), in: Thought, 28, 1953, S. 626f. [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=cecSAAAAIAAJ
  • [1953-135] [Englisch] Rezension zu: Guardini, Glaubenserkenntnis, engl. (The faith and modern man), in: The Downside Review, 71, 1953, S. 205 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=y8wWRLhwxYEC
  • [1953-136] [Englisch] Nels F. S. Ferre: Rezension zu: Guardini, Glaubenserkenntnis, engl. (The faith and modern man), in: Theology Today, 10, 1953, 3 (Oktober), S. 434-435 [neu aufgenommen] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-137] [Englisch] Charles A. Hart: Rezension zu: Guardini, Glaubenserkenntnis, engl. (The faith and modern man), in: The Catholic Educational Review, 51, 1953, S. 427f. [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=FTwVAAAAIAAJ
  • [1953-138] [Englisch] Eva Maria Jung: Rezension zu: Guardini, Glaubenserkenntnis, engl. (The faith and modern man), in: The Review of Religion, Band 18,Ausgaben 1-2, 1953 - Seite 111f. [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=L19TAAAAYAAJ
  • [1953-139] [Englisch] W. H. Russell: To Face Reality (Rezension zu: Guardini, Glaubenserkenntnis, engl. The faith and modern man), in: Commonweal, New York, 57, 1952/53, 9. Januar 1953, S. 359 [Mercker 3356] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=tS0dAQAAMAAJ; auch in: Book Review Digest, 49, 1954, S. 388 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=-q8YAAAAIAAJ
  • [1953-140] [Englisch] Paul Sih: Rezension zu: The Faith and Modern Man, in: The American Benedictine Review, 4, 1953, S. 174 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=ZiLMEgEPlAIC oder https://books.google.de/books?id=omcm7cidJV4C:
    • S. 174: „The Faith and Modern Man consists of twelve essays published by Msgr. Guardini in Germany before the Nazis took over. Among the subjects treated are: adoration, revelation, providence, dogma, purgatory, Satan, the saints. These brief essays are excellent in different ways: some because they enunciate insights of supernatural truths, such as the difference between knowledge and faith, existence and life, earthly reality and transcendence, natural experience and revelation, outward action and adoration, heresy and dogma, nature and grace; some because of the author's practical applications of truth to the spiritual life. Msgr. Guardini has written a poignantly inspiring book. To read it will make one "not more prudent for the next time, but wiser for all time.” The chapter that impressed me most is “God's Dominion and Man's Freedom." The tragedy of modern man is that he lives on the superficial levels of life and "instead of worshiping the Living God, [he] is worshiping a phantom which is drawing him down into the world. Modern man does not realize that he carries the garden of delight within him, where "Spirit and spirit can meet." The Faith and Modern Man for a long time to come will help to develop a power by which to subdue hostile spirits which after all have very definite limits. „From this," as the author concludes, "comes the Christian's confidence in victory as we find it expressed in Paul´s Epistle tot he Romans.“


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Zu: Christliche Besinnung (1, 1950-8, 1955) (Mercker 761, 762, 814, 815, 862, 913, 914, 1019)

Bd. 4: Johannes der Täufer und Jesus
Bd. 8: Apparatur und Glaube/Photographie und Glaubenszweifel
  • [1953-142] Anton Böhm: Mysterium im optischen Potpourri. Gottesdienst und Fernsehen, in: Rheinischer Merkur, Koblenz/Köln, 1953, 26, 26. Juni, S. 9 (Photographie und Glaubenszweifel) [Mercker 2292] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1953-143] Die Fernsehübertragung der heiligen Messe, in: Herder-Korrespondenz, Freiburg, 7, 1953, 11, S. 518-520 (Bericht über das Gutachten Guardinis; vgl. Photographie und Glaubenszweifel, weitere Gutachten von Hermann Volk und Josef Pieper) [Volk] - [Mercker 2293] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1953-144] Hermann Volk: Gefährliche Preisgabe des Mysteriums, in: Echo der Zeit, Recklinghausen, 1953, 28, 12. Juli, S. 9 (Gedankliche Verwandtschaft mit: Photographie und Glaubenszweifel) [Volk] - [Mercker 2294] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1953-145] Josef Pieper: Zur Fernseh-Übertragung der Heiligen Messe (1953), in ders. (Hrsg.): Weistum, Dichtung, Sakrament, München 1954, (Gutachten analog zu: Guardini, Photographie und Glaubenszweifel, siehe Verweis bei [Mercker 2293]) [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=uj4aAAAAMAAJ; Neudruck 2015 (1954) [Artikel] - https://books.google.de/books?id=NV15CgAAQBAJ; auch in ders.: Werke, Bd. 7: Religionsphilosophische Schriften, Hamburg 2000, S. 487-490 [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=DOPWAAAAMAAJ
Allgemein

Rezensionen zu: Die Sinne und die religiöse Erkenntnis (1950)


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Rezensionen zu: Gläubiges Dasein (1950/51)

  • [1953-150] Rezension zu: Guardini, Gläubiges Dasein, in: Seele, Regensburg, 29, 1953, 4, S. 125f. [Gerner 358] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Rezensionen zu: Nur wer Gott kennt, kennt den Menschen (1952)

  • [1953-151] Deutscher Katholikentag 19. bis 24. August 1952 in Berlin. Ein Bildbericht, hrsg. vom Lokalkomitee des 75. Deutschen Katholikentages 1952 in Berlin, Leipzig 1953, darin Romano Guardini Foto (im Gespräch mit Bischof Weskamm) [Gerner 268] - [Monographie] - [noch nicht online]
  • [1953-152] Rezension zu: Guardini, Nur wer Gott kennt, kennt den Menschen, in: Anzeiger für die katholische Geistlichkeit, Freiburg im Breisgau, 62, 1953, 5 (August), S. 124 [Gerner 376] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-153] Rezension zu: Guardini, Nur wer Gott kennt, kennt den Menschen, in: Der Jungführer, Düsseldorf/Würzburg, 4, 1953, S. 182 [Gerner 376] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-154] Ankündigung Vortrag Prof. Guardini 24. Februar 1953, 19.30 Uhr, Oberfinanzdirektion: „Nur wer Gott kennt, kennt den Menschen“, in: Münchener Katholische Kirchenzeitung, München, 46, 1953, 8 (22. Februar 1953), S. 117 [Gerner 270] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1953-155] Rezension zu: Guardini, Nur wer Gott kennt, kennt den Menschen, in: Petrusblatt, Berlin, 9, 1953, 39 (27. September 1953), S. 10 [Gerner 376] - [Rezension] - [noch nicht on-line]
  • [1953-156] Rezension zu: Guardini, Nur wer Gott kennt, kennt den Menschen, in: Religion und Weltanschauung, Rosenheim, 8, 1953, 4 (Juli/August), S. 160 [Gerner 376] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1953-157] Rezension zu: Guardini, Nur wer Gott kennt, kennt den Menschen, in: Werkblatt der Arbeitsgemeinschaft katholischer Erzieher, Freiburg im Breisgau, 4, 1953, 2/3, S. 27 [Gerner 376] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Rezensionen zu: Der geistliche Mai (1952)

  • [1953-158] Meinwerk Hoffmann: Zur Gestalt unserer Maiandacht (Rezension zu: Weiger/Guardini/Messerschmid (Hrsg.): Der geistliche Mai), in: Sanctificatio nostra, Werl, 18, 1953, 5, S. 144-147, zu Romano Guardini S. 146 [Gerner 331] - [Rezension] - [noch nicht online]


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