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Aus Romano-Guardini-Handbuch
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# [[Erich Auerbach]]: Der Triumph des Bösen. Versuch über Pascals politische Theorie, in: [[Felsefe Arkivi]], Istanbul, 1, 1946, 2-3, 1946, S. 51-75 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=JjhdAAAAIAAJ; geschrieben im Mai 1941; zu Romano Guardini:
# [[Erich Auerbach]]: Der Triumph des Bösen. Versuch über Pascals politische Theorie, in: [[Felsefe Arkivi]], Istanbul, 1, 1946, 2-3, 1946, S. 51-75 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=JjhdAAAAIAAJ; geschrieben im Mai 1941; zu Romano Guardini:
## S. 51: „Der Triumph des Bösen. Versuch über Pascals politische Theorie[1 Über das gleiche Thema vgl. Guardini, Christliches Bewußtsein, Leipzig 1935, S. 139 ff.]
## S. 51: „Der Triumph des Bösen. Versuch über Pascals politische Theorie[1 Über das gleiche Thema vgl. Guardini, Christliches Bewußtsein, Leipzig 1935, S. 139 ff.]
# [Französisch] [[Albert Béguin]]: Faiblesse de l'Allemagne, 1946 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=TPdSLk8GAbIC; zu Romano Guardini:
## S. 250 f.: „A côté de ces traductions, et dès avant leur publication plusieurs études sur Pascal avaient paru en Allemagne, au premier rang desquelles il faut mettre le livre de Romano Guardini, publié dès 1935. Prêtre séculier, Guardini, qui est né en Allemagne de parents italiens, était, jusqu'à ces derniers mois, titulaire d'une chaire de philosophie catholique à Berlin: Il a joué un grand rôle dans le «mouvement liturgique» et dans la lutte contre la théologie libérale. Son enseignement et ses ouvrages (sur saint Augustin, Dante, Dostoïevsky, tout récemment sur Holderlin) tendent avant tout à un but qui est celui de l'humanisme chrétien, et qui peut se définir grossièrement par l'intention de démontrer qu'il est possible de christianiser le monde moderne. L'aventure spirituelle de Pascal, analysée par Guardini, avec une grande profondeur, lui apparaît historiquement comme celle d'un esprit qui, au déclin de la pensée médiévale et à l'aube des temps nouveaux, a éprouvé plus intensément que ses contemporains l'angoisse du chrétien devant une philosophie libérée de la tradition romaine: arraché à la situation que la théologie et la pensée des siècles antérieurs s'accordaient à lui conférer dans une certaine représentation de l'univers, l'homme pouvait - il parvenir à se «situer» dans cet autre univers que lui proposaient les sciences et la philosophie nouvelles? Interprétant la lutte de Pascal dans ce sens, Guardini y voit une tentative pour recréer, sur des bases renouvelées, un ordre du monde où la créature chrétienne pût trouver sa place. D'autre part, très préoccupé d'orthodoxie romaine et soucieux de l'unité de l'Église, un catholique comme Guardini devait nécessairement aborder le problème du jansénisme de Pascal et de son attitude au moment de la condamnation par Rome. Je ne puis rendre compte ici d'un commentaire très subtil, mais il est intéressant de constater que, comme Wasmuth, mais par de tout autres voies, Guardini en vient à contester tout rapprochement possible entre la dialectique pascalienne et la théologie kierkegaardienne. La révolte même de Pascal contre l'autorité ne peut être bien comprise, à  son avis, qu'à l'intérieur de l'Église. On voit assez, je pense, combien ce livre, dont je n'ai fait qu'effleurer le contenu, touche à des questions que tout catholique allemand est contraint de se poser aujourd'hui plus nettement que jamais. Mais le renouveau des études pascaliennes a dépassé le cercle des chrétiens et des philosophes à qui s'adressent Guardini ou Wasmuth.“
## S. 254: „La résistance chrétienne à l´idéologie nationale-socialiste est très certainement à l´origine de ce retour à Pascal. Le premier livre paru, celui de Guardini, s'intitule Conscience chrétienne et, dans l'édition Wasmuth, les Pensées portent pour titre: Sur la religion.“


==== Zu: Hölderlin (1935) ====
==== Zu: Hölderlin (1935) ====

Version vom 26. Februar 2024, 11:16 Uhr

Zu: Dante (1931)/Rezensionen zu: Vision und Dichtung (1946)

  1. Rezension zu: Guardini, Vision und Dichtung, in: Begegnung, Köln, 1, 1946, 8 (September 1946), S. 256 [Gerner 388] - [Rezension] - [noch nicht online]
  2. Rezension zu: Guardini, Vision und Dichtung, in: Der Überblick, München, 1, 1946, 10 (6. November 1946), S. 5 [Gerner 388] - [Rezension] - [noch nicht online]
  3. Hermann Krings: Rezension zu: Guardini, Vision und Dichtung, in: Katechetische Blätter, München, 71, 1946, 6, S. 188 [Gerner 388] - [Rezension] - [noch nicht online]
  4. Friedrich Schneider: Rezension zu: Guardini, Vision und Dichtung, in: Deutsches Dante-Jahrbuch, Weimar, 26, 1946, S. 209f. („Literatur-Bericht“, S. 209-211) [Gerner 388] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=dfMxAAAAMAAJ
  5. Rezension zu: Guardini, Vision und Dichtung, in: Seele, Regensburg, 22, 1946, 9, S. 271f. [Gerner 388] - [Rezension] - [noch nicht online]
  6. Walther Weidner: Zur Darstellung des Menschen bei Dante, in: Die Besinnung, Nürnberg, 1, 1946, 4 (Oktober 1946), S. 160-167 [Gerner 177] - [Artikel] - [noch nicht online]

Zu Dante (1931)/Zu: Tübinger Kunstwochen

  1. Staatssekretariat für das französisch besetzte Gebiet Württembergs und Hohenzollerns (Hrsg.): Programm der Kunstwochen Tübingen Reutlingen 1946, 1946 [historisch relevant]: Ankündigung für 29. Juli 1946, Neue Aula, Auditorium maximum. Vortrag von Professor Romano Guardini, Tübingen: Landschaftsbetrachtung in Dantes Göttlicher Komödie [Gerner 256] - [Monographie] - [noch nicht online]
  2. Erich Härlen: Tübinger Kunstwochen: Romano Guardini: „Landschaftsbetrachtung in der Göttlichen Komödie“, in: Schwäbisches Tagblatt, Tübingen, 2, 1946, 62 (6. August 1946), S. 3 [Gerner 256] - [Artikel] - [noch nicht online]
  3. Franz Roh: Tübinger Kunstmonat, in: Die Neue Zeitung, München, 2, 1946, 65 (16. August 1946), S. 4 [Gerner 256] - [Artikel] - [noch nicht online]

Zu: Dostojewskij (1931)/Zu: Religiöse Gestalten in Dostojewskijs Werk (1939)

  1. Alois Dempf: Die drei Laster: Dostojewskis Tiefenpsychologie, 1946 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=0ZcgAAAAMAAJ; (2)1949 - https://books.google.de/books?id=6JpPAQAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    1. 1946, S. 128; 1949, S. 135: „Ich hoffe, der Leser wird nun verstehen, warum ich nach soviel Philosophen – Iwanow, Berdjajew, Komarowski, Prager, Guardini —, um das halbe Dutzend voll zu machen, auch noch über Dostojewski geschrieben habe? Weil die anderen nicht wagten, zu gestehen, daß er auch ein Moralist ist, ganz einfach ein Dichter mit moralischen Nutzanwendungen. Es fehlt eigentlich nur, daß diese Nutzanwendungen wie nach alten Fabeln mit andern Lettern an den Schluß gesetzt wären!“
  2. [Französisch] Lew Aleksandrowitsch Zander: Dostoïevsky: le problème du bien , 1946, zu Romano Guardini S. 68, 88, 136, 147f., 150 u.ö. [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=6x4cAAAAIAAJ; deutsch unter dem Titel: Vom Geheimnis des Guten. Eine Dostojewskij-Interpretation, Stuttgart 1956, hier S. 127-160 (zur Interpretation der Gestalt Myschkins in Auseinandersetzung mit Guardini), zu Romano Guardini S. 63, 95-99, 107, 127, 137-140, 144, 156 und 162 [Gerner 177] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=y2lEAAAAIAAJ

Zu: Pascal (1935)

  1. Erich Auerbach: Der Triumph des Bösen. Versuch über Pascals politische Theorie, in: Felsefe Arkivi, Istanbul, 1, 1946, 2-3, 1946, S. 51-75 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=JjhdAAAAIAAJ; geschrieben im Mai 1941; zu Romano Guardini:
    1. S. 51: „Der Triumph des Bösen. Versuch über Pascals politische Theorie[1 Über das gleiche Thema vgl. Guardini, Christliches Bewußtsein, Leipzig 1935, S. 139 ff.]
  2. [Französisch] Albert Béguin: Faiblesse de l'Allemagne, 1946 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=TPdSLk8GAbIC; zu Romano Guardini:
    1. S. 250 f.: „A côté de ces traductions, et dès avant leur publication plusieurs études sur Pascal avaient paru en Allemagne, au premier rang desquelles il faut mettre le livre de Romano Guardini, publié dès 1935. Prêtre séculier, Guardini, qui est né en Allemagne de parents italiens, était, jusqu'à ces derniers mois, titulaire d'une chaire de philosophie catholique à Berlin: Il a joué un grand rôle dans le «mouvement liturgique» et dans la lutte contre la théologie libérale. Son enseignement et ses ouvrages (sur saint Augustin, Dante, Dostoïevsky, tout récemment sur Holderlin) tendent avant tout à un but qui est celui de l'humanisme chrétien, et qui peut se définir grossièrement par l'intention de démontrer qu'il est possible de christianiser le monde moderne. L'aventure spirituelle de Pascal, analysée par Guardini, avec une grande profondeur, lui apparaît historiquement comme celle d'un esprit qui, au déclin de la pensée médiévale et à l'aube des temps nouveaux, a éprouvé plus intensément que ses contemporains l'angoisse du chrétien devant une philosophie libérée de la tradition romaine: arraché à la situation que la théologie et la pensée des siècles antérieurs s'accordaient à lui conférer dans une certaine représentation de l'univers, l'homme pouvait - il parvenir à se «situer» dans cet autre univers que lui proposaient les sciences et la philosophie nouvelles? Interprétant la lutte de Pascal dans ce sens, Guardini y voit une tentative pour recréer, sur des bases renouvelées, un ordre du monde où la créature chrétienne pût trouver sa place. D'autre part, très préoccupé d'orthodoxie romaine et soucieux de l'unité de l'Église, un catholique comme Guardini devait nécessairement aborder le problème du jansénisme de Pascal et de son attitude au moment de la condamnation par Rome. Je ne puis rendre compte ici d'un commentaire très subtil, mais il est intéressant de constater que, comme Wasmuth, mais par de tout autres voies, Guardini en vient à contester tout rapprochement possible entre la dialectique pascalienne et la théologie kierkegaardienne. La révolte même de Pascal contre l'autorité ne peut être bien comprise, à son avis, qu'à l'intérieur de l'Église. On voit assez, je pense, combien ce livre, dont je n'ai fait qu'effleurer le contenu, touche à des questions que tout catholique allemand est contraint de se poser aujourd'hui plus nettement que jamais. Mais le renouveau des études pascaliennes a dépassé le cercle des chrétiens et des philosophes à qui s'adressent Guardini ou Wasmuth.“
    2. S. 254: „La résistance chrétienne à l´idéologie nationale-socialiste est très certainement à l´origine de ce retour à Pascal. Le premier livre paru, celui de Guardini, s'intitule Conscience chrétienne et, dans l'édition Wasmuth, les Pensées portent pour titre: Sur la religion.“

Zu: Hölderlin (1935)

  1. R. M.: Hölderlin und die Landschaft (Vortragsbericht), in: Schwäbische Donauzeitung, Ulm, 1946, Nr. 36 (4. Mai 1946), S. 3: über den Vortrag am 29. April in der Eröffnungswoche der Ulmer Volkshochschule [Gerner 257] - [Artikel] - [noch nicht online]
  2. Annemarie Christiansen: Die Idee des Goldenen Zeitalters bei Hölderlin, Phil. Dissertation, Tübingen 1946, zu Romano Guardini S. 3, 40, 75, 81, 117 und 155 [Gerner 172] - [Monographie]/[Doktorarbeit] - [noch nicht online]

Zu: Hölderlin (1935)/Rezensionen zu: Form und Sinn der Landschaft in den Dichtungen Hölderlins (1946)

  1. Georg Schwarz: Rezension zu: Guardini, Form und Sinn der Landschaft in den Dichtungen Hölderlins, in: Welt und Wort. Literarische Monatsschrift, München, 1, 1946, 6, S. 189 [Mercker 3319] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=ljoQAAAAIAAJ
  2. Emil Staiger: Hölderlin-Forschung während des Krieges, in: Trivium, Zürich, 4, 1946, S. 202-219, zu Romano Guardini S. 204-206 [Gerner 176] - [Artikel] - [noch nicht online]

Zu: Rilke (1941)/Rezensionen zu: Zu Rainer Maria Rilkes Deutung des Daseins (1941)

  1. Hermann Kunisch: Rainer Maria Rilke und die Dinge, Köln 1946, zu Romano Guardini S. 53-55 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=NeNLAAAAMAAJ;
  2. Eudo Colecestra Mason: Rezension zu: Guardini, Zu Rainer Maria Rilkes Deutung des Daseins, in: National-Zeitung, Basel, 27, 1946 (1947???), 192 (28. April 1946 oder 1947??? (Sonntagsbeilage) [Gerner 404] - [Rezension] - [noch nicht online]
  3. Eudo Colecestra Mason: Romano Guardini über Rainer Maria Rilke, in: Schweizer Annalen, 3 (36???), 1946/47, S. 82-85 (kritisch) [Mercker 2100] - [Rezension] - [noch nicht online]
  4. [Französisch] Pierre Klossowsky: Rainer Maria Rilke et les Élégies de Duino (Rezension zu: Guardini, Zu Rainer Maria Rilkes Deutung des Daseins), in: Critique, Paris, 5, 1946, Oktober 1946, S. 404-418 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=LscSAAAAIAAJ; deutsch unter dem Titel: Rainer Maria Rilke und die Duineser Elegien, in: Lancelot. Der Bote aus Frankreich, 1947, S. 30-46, zu Romano Guardini S. 30, 33, 36f., 46 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=vHASAAAAIAAJ
  5. Rezension zu: Guardini, Zu Rainer Maria Rilkes Deutung des Daseins, in: Der Turm, Wien, 1, 1945/46, ??? (??? 1946), S. 357f.??? [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=nckPAAAAIAAJ;
  6. Ignaz Zangerle: Die Bestimmung des Dichters, in: Der Brenner, 16, 1946, S. 112-199, hier S. 149 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=pahDAQAAIAAJ; dann unter dem Titel: Der Dichter und das Kreuz (Rilke, Trakl, Kafka), in: Das Goldene Tor, 3, 1948, S. 413-426, hier S. 418 f. - https://books.google.de/books?id=rzMZAAAAIAAJ; auch in ders.: Die Bestimmung des Dichters. Ein Versuch, 1949, S. 45-74, hier S. 57 f. - https://books.google.de/books?id=YSU0AQAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    1. "Aus allem Dasein hat sich dieser modern Orphiker die Schwermut als Genußmittel destilliert. Dieses geistige Raffinement wirkt umso furchtbarer, als Rilkes Art zu empfinden ganz unleugbar christlich geprägt ist und in seinem Dichten so etwas wie eine Begabung für das Mystische sichtbar wird. Die “Sonette an Orpheus” und die “Duineser Elegien” möchten mehr als Dichtung sein, möchten sich als immanentistische Selbsterlösung, als Stiftung einer esoterischen weltlichen Kirche verstanden wissen.1)" [1) Hängt es mit dem Geheimcharakter der modernen Literatur zusammen oder ist es ein neues Alexandrinertum, daß Rilkes Doppelschöpfung seiner Spätzeit bereits drei Kommentare hervorgerufen hat, von Caemmerer wie von Guardini einen zu den Elegien und Holthusens „ vertikalen ” Kommentar zu den Sonetten? Obwohl Guardinis Deutung die Caemmerers weit hinter sich läßt, scheint uns ihr Versuch, das "Offene" Rilkes christlich auszulegen, nicht ganz überzeugend..”]

Zu: Unsere Verantwortung für die Sprache

  1. Ankündigung der Religiösen Bildungsarbeit in Stuttgart für die erste Winterhälfte 1946/47, u.a. Einzelvorträge, darunter: Prof. Guardini über „Unsere Verantwortung für die Sprache“ am 18. November 1946 in der evangelischen Markuskirche in Stuttgart, in: Katholisches Sonntagsblatt, Stuttgart, 94, 1946, 41 (13. Oktober 1946), S. 246 [Gerner 257] - [Artikel] - [noch nicht online]
  2. Dr. A. M.: Unsere Verantwortung für die Sprache, in: Schwäbische Donauzeitung, Ulm, 1946, Nr. 36 (4. Mai 1946),. S. 3 [Gerner 257] - [Artikel] - [noch nicht online]