Vorlage:1950 Sekundärbibliographie

Aus Romano-Guardini-Handbuch

Der Jahrgang 1950 kennt derzeit 284+1 Titel; von den 285 im Jahrgang aufgeführten Titeln finden sich:

  • 85 Titel bereits in der Mercker-Bibliographie;
  • 131 Titel zusätzlich in der Gerner-Bibliographie;
  • 68+1 Titel wurden neu aufgenommen durch diese Bibliographie.

Stand: 06.06.2024

Biographie

Lexika

  • [1950-001] (Artikel) Guardini, Romano, in: Der Neue Herder von A bis Z, 1950, S. 1507 [neu aufgenommen] - [Lexikoneintrag] - https://books.google.de/books?id=3kgjAQAAIAAJ;
    • Text: „Guardini, Romano, kath. Theolog u. Religionsphilosoph, *1885 in Verona; 1923 Univ.-Professor in Berlin (Breslau). 45 in Tübingen, 48 in München; ein geistiger Führer der kath. Jugendbewegung (Quickborn), hervorragender Lehrer u. Erzieher zu einem weltoffenen, glaubensfrohen kath. Bewußtsein, feinsinniger Deuter dichterischer u. philosophischer Geister. Schrieb u.a.: Der Herr; Besinnung vor der hl. Messe; Vorschule des Betens.“
  • [1950-002] (Artikel) Romano Guardini, in: Friedrich Bertkan/Gerhard Oestreich (Red.): Kürschners Deutscher Gelehrten-Kalender 1950, Berlin, 7, 1950, Sp. 655 [Gerner 56] - [Lexikoneintrag] - [noch nicht online]


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Biographie/Zeitgeschichte/Zeitgenossen

  • [1950-003] [Spanisch] Agustín Basave Fernández del Valle: El Bizantino y el Gótico, in: Trivium, Bände 2, 1950, 11/12, S. 26-28 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=ahQQAAAAIAAJ; wieder in ders.: La filosofia de Jose Vasconcelos, 1973, S. 372 f. - https://books.google.de/books?id=aK08AAAAYAAJ (siehe dort auch S. 447: "Con Romano Guardini comparte esa ansia arrebatada de unidad"); zu Romano Guardini:
    • 1950, S. 25 f.; 1973, S. 372 f.: „Y terminemos el esquema de la liturgia vasconceliana con las palabras que el mismo autor cita de Guardini: „todo todo el sentido de la liturgia está en saber situarse ante Dios, Señor y Salvador, para desahogarse libremente en su presencia y vivir dentro de este dichoso mundo de verdades, de fenómenos, de realidades de misterios y símbolos divinos, pensando que el vivir la vida de Dios es vivir real y profundamente la suya propria“ *** Ante la Liturgia, Vasconcelos no contiene su efusión ni economiza elogios. Hace muchos años que Eugenio d'Ors le despertó el gusto por el arte litúrgico. Por él conoció también a Romano Guardini. Desde entonces, no ha cesado de rendir a la Liturgia, en su sistema, la máxima pleitesía.“
  • [1950-004] Guardini in München, in: Deutsche Tagespost, Würzburg, 3, 1950, 18. Juli 1950 [Mercker 2311] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-005] Karl Färber: Engelbert Krebs +, in: Der christliche Sonntag, Freiburg im Breisgau, 2, 1950, 52 (24. Dezember 1950), S. 411f. [Gerner 291] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-006] [Französisch] Gabrielle Ferrières: Jean Cavaillès, philosophe et combattant (1903-1944), 1950 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=GypIAAAAMAAJ; 1981 - https://books.google.de/books?id=LitYDwAAQBAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 91-93: „… Cette impression (1) de douceur de la messe dimanche dernier, s´est prolongée toute cette semaine. J´ai eu, à Rothenfels, beaucoup plus que je n´espérais. Guardini, qui, à Fribourg, me paraissait trop soucieux de finesse, de joli, est, au contraire, au moins à le juger par ces journées, un des prédicateurs les plus profondément sérieux et dégagé de toute recherche que j'aie rencontré. Hier et aujourd'hui spécialement, sur le bon Samaritain, sur le sacrifice du Christ, je n'avais pas encore entendu parler ainsi et toujours sans le moindre effet, sans élever la voix, avec dans le sourire très particulier des yeux comme une sorte de tendresse très sérieuse. On disait qu'il avait une tête du Greco et, en effet, il y a quelque chose de triangulaire, qui me fait penser à une Madone que j'ai vue à Munich. Cela a été très court, mais assez réglé. Après l'introduction de lundi soir, tous les jours à sept heures et demie, exercices respiratoires «pour trouver l'équilibre du corps« et c'était le moins bien. Puis à huit heures, courte méditation de Guardini, qui aboutissait à proposer un thème de contemplation silencieuse qui durait dix minutes. Puis on se rendait à la chapelle et là messe, récitée ou chantée, à laquelle je participais le plus loin possible — et je me permettais même de dire à peu près tous les répons. Au milieu, comme sermon, une explication en quatre parties de la messe elle-même origine, la Cène, le Sacrifice, la Communion. Puis, après le déjeuner, exercices de chants et une heure et demie de liberté — déjeuner, et l'après midi, exercice de récitation en commun, et de nouveau discours de Guardini. Enfin, le soir à neuf heures, nous étions repris, mais plutôt pour une préparation à une nouvelle méditation intérieure d'un quart d'heure, qui aboutissait à la même marche silencieuse vers la chapelle où les prières du soir était alternativement un extrait allemand des Complies, et des litanies, mais dites avec des intervalles de silence et une ferveur dans les demandes qui en faisait quelque chose de profondément émouvant. Le thème général des discours: discipline préperatorie à la méditation, technique du silence: «aux degrés de profondeur allant à l'infini»... et du «se rendre ouvert à la vérité divine». Avec, comme aide, silence imposé de deux à trois et de neuf heures du soir à dix heures le lendemain matin — le deuxième règlement observé — et, en général, le sérieux des deux cents participants était déjà en soi quelque chose de beau Je vois encore cette descente dans la cour vers la chapelle le premier soir, par une belle nuit, après la pause de méditation intérieure sur «les disciples dans l'attente de l'effusion de l'Esprit le soir de la Pentecôte». Il y avait un grand art dans toute la construction de ces journées. Mais pas artificiel — jusqu'à l'improvisation était complètement sincère et j'en ai eu la preuve: car, comme dans la cour mon allure d'étranger avait attiré le regard de Guardini, je me suis présenté, assez maladroitement d'ailleurs, disant que j'étais là en tournée d'étude. Il m'a peu répondu et a même éludé, prétextant son surmenage, une demande de rencontre. Mais le lendemain, pendant une récréation m'a entraîné dans le bois tout près et bien joli — et là, même avec un peu de vivacité: «Vous me gênez — je vous avoue qu'hier soir et ce matin je n'ai pas pu parler comme j'aurais voulu à cause de vous — nous ne sommes pas ici pour être observés.» Il ne m'a pas été difficile de lui expliquer que j'étais là pour participer à tout dans la mesure du possible — et il s'est déclaré complètement satisfait. Mais j'avais aimé cette réaction — comme après, parce que je lui parlais de Heidegger pour savoir ce qu'il en pensait, quand il m'a répondu qu'il n'avait lu qu'une moitié de son livre. [Après Rothenfels, Jean se rend à la semaine catholique de Salzbourg.] … Et maintenant (1), je suis dans la perle Salzbourg – je suis arrivé ce soir, au milieu d´un délire de bannières, de costume locaux, de couleurs vives — il y a bien une frontière de passée. La ville elle-même est charmante, pleine de petites rues, de passages voûtés et au milieu la Salzbach avec ses eaux grises de glacier fondu — c'est une accumulation de cloîtres.Je pensais à toi en visitant cet après-midi un couvent de bénédictines, dont l'abbesse est de droit princesse et porte une une couronne. Les abbés à chaîne d'or pullulent — on voit, d'ailleurs, cardinaux, princes, évêques, etc., au cours. J'habite dans un collège bénédictin — ce n'est pas tout à fait le cloître, sinon pour le rudimentaire des chambres mais au réfectoire, il y a même des femmes (qui assistent aux cours) et la tête de tous ces gens, un peu trop confits, est une bonne douche froide après Rothenfels. Je n'ai pu m'empêcher aujourd'hui d'avoir, avec un de mes dévots voisins, une explosion de rationalisme. Cette dialectique, uniquement verbale, n'avance pas à grand-chose et, si on les avait suivis, il n'y aurait pas eu ce développement de la raison qu'ils utilisent d'ailleurs eux-mêmes. Il y a, cette année, un jubilé et je m'envoie de la musique au maximum: dimanche soir, la Missa solemnis de Beethoven et mardi la messe en do mineur de Mozart, où il sait mettre des passages d'une douceur et d'une pureté infinies... ... Guardini (1) a continué à être très bien, ce qui, m´a-t-on raconté par hasard, a excité la méfiance ou la jalousie, car il faisait salle comble. Des quelques autorités, Maritain pas mal – le reste très quelconque, le jésuite Przywara en particulier qui, de plus en plus, me fait l´effet d´un brillant joungleur. A la fin, le prince archevêque a conclu par quelques mots sérieux qui m'ont beaucoup plu — et je me suis agenouillé avec la foule pour recevoir sa bénédiction. Au reste, je vais, maintenant, assez loin dans les signes extérieurs — et le soir, je me suis trouvé pris dans une procession aux flambeaux – très belle d´ailleurs – qui a terminé l´office de complies.“
  • [1950-007] Armin Mohler: Die konservative Revolution in Deutschland 1918-1932. Grundriß ihrer Weltanschauungen, 1950, zu Romano Guardini S. 109, 111, 117, 136 u.ö. ??? [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=hFcbAAAAMAAJ; 1972, zu Romano Guardini S. 80-87, 103, 119f., 269, 305 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=uwIQAQAAMAAJ; 1999, zu Romano Guardini S. 80-87, 103, 119f., 269, 305 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=KBqDAAAAMAAJ; 2005, zu Romano Guardini S. ???, 319 und 355 - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=jQFoAAAAMAAJ
  • [1950-008] Gustav Siewerth: Gegenwartsphilosophie in Deutschland, in: Wissenschaft und Weltbild, Wien, 3, 1950, S. 129-131 und S. 181-183, hier S. 181 (positive Charakterisierung Guardinis) [Gerner 93] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=FsYMAQAAMAAJ
  • [1950-009] [polnisch] Jan Wierusz-Kowalski: Nowe kierunki w teologii. cz. II. Romano Guardini, in: Znak, 5, 1950, 3, S. 194-206 [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=DygTAAAAIAAJ
  • [1950-010] Peter Wust: Gestalten und Gedanken: Rückblick auf mein Leben, 1950, S. 38 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=Rr8xAQAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 38: „Auf diese Weise wurde ich von Kind an mit der Liturgie des Kirchenjahres gut vertraut und atmete schon im voraus in jener Atmosphäre, die heute die von Abt Ildefons Herwegen und Romano Guardini eingeleitete liturgische Bewegung um uns herum verbreitet hat.“
Zum 65. Geburtstag und 40jährigen Priesterjubiläum
  • [1950-011] Romano Guardini - ein deutscher Religionsphilosoph, in: Aalener Volkszeitung, Aalen, 29, 1950, 38 (15. Februar 1950), S. 4 [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-012] Die Verheißung der Kunst. Zum 65. Geburtstag des Tübinger Gelehrten, in: AZ. Württembergische Abendzeitung, Stuttgart, 2, 1950, 40 (17. Februar 1950), S. 3 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-013] Alle Macht durch Gott, in: Badische Neueste Nachrichten, Karlsruhe, 5, 1950, 36 (20. Februar 1950), S. 8 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-014] Romano Guardini fünfundsechzig Jahre alt, in: Badische Zeitung, Freiburg im Breisgau, 5, 1950, 20 (16. Februar 1950), S. 6 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-015] Glückwunsch für Guardini, in: Der christliche Sonntag, Freiburg im Breisgau, 2, 1950, 11 (12. März 1950), S. 87 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-016] Erzieher der jungen Generation. Romano Guardini zum 65. Geburtstag, in: Deutsche Tagespost, Regensburg, 3, 1950, 21. Februar 1950, S. 6 [Mercker 2436, bei Mercker „Würzburg“ statt „Regensburg“???] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-017] Romano Guardini, in: Die Welt, Hamburg, 1950, 17. Februar, 1 Sp. [Mercker 2441] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-018] Paul Fechter: Ein Glückwunsch für Romano Guardini, in: Die Neue Zeitung. Die amerikanische Zeitung in Deutschland, Frankfurt am Main/München/Berlin, 6, 1950, 39, 15. Februar, S. 7 [Mercker 2437] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-019] Helene Helming: Grußworte zum 40jährigen Priesterjubiläum von Romano Guardini. Pfingsten 1950, Burg Rothfels, in: Burgbrief, Burg Rothenfels am Main, Brief 2, 1950, S. 15 (Nachschrift) [Mercker 2593] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-020] Arthur Hübscher: Romano Guardini zum 65. Geburtstag, in: Frankfurter Rundschau, 1950, 17. Februar [Mercker 2438] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-021] Aus dem Leben der Kirche, in: Freiburger Katholisches Kirchenblatt, Freiburg im Breisgau, 1950, 9 (26. Februar 1950), S. 130 (zu Romano Guardinis 65. Geburtstag) [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-022] Romano Guardini. Wider den Triumpf der Materie, in: Interpress. Internationaler Biographischer Pressedienst, Ausgabe Kultur, Hamburg 1950, 30, 11 Februar 1950, 2 Typoskriptseiten [Mercker 1906] - [Artikel]/[Agenturmeldung]/[Typoskript] - [noch nicht online]
    • Wider den Triumph der Materie. Romano Guardini zum 65. Geburtstag, in: Schwarzwälder Post, Oberndorf/Neckar, 116, 1950, 26 (16. Februar 1950), S. 6 [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-023] Aus der katholischen Welt. Deutschland, in: Katholisches Sonntagsblatt, Stuttgart, 98, 1950, 9 (26. Februar 1950), S. 130 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-024] (Notiz), in: Klerusblatt, Eichstätt, 30, 1950, S. 90 (Kurze Notiz zum 65. Geburtstag) [Mercker 2439] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-025] Walter Lipgens: Lebensbilder: Romano Guardini, in: Sanctificatio nostra, Werl, 15/1950, S. 142-151 (zu seinem 65. Geburtstag und 40jährigen Priesterjubiläum) [Gerner 50] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-026] Jan Maren: Gedenktafel der Woche, in: Der Tagesspiegel, Berlin, 6, 1950, 1342 (8. Februar 1950), S. 5 [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-027] Werner Marx: Ein Theologe unserer Tage. Zum 65. Geburtstag von Romano Guardini, in: Der christliche Pilger, Speyer, 100, 1950, 10 (5. März 1950), S. 155 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-028] Wilhelm Mogge: Ein universaler Denker. Zu Romano Guardinis 65. Geburtstag, in: Allgemeine Kölnische Rundschau, 1950, 40, 16.-17. Februar [Mercker 2440] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-029] Romano Guardini zum 65. Geburtstag, in: Münchener Katholische Kirchenzeitung, München, 43, 1950, 8 (19. Februar 1950), S. 95 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-030] Romano Guardini wurde am 17. Februar 65 Jahre alt, in: Petrusblatt, Berlin, 6, 1950, 9 (26. Februar 1950), S. 6 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-031] Annemarie von Puttkamer: Begegnung mit Romano Guardini, in: Die Tat, Zürich, 15, 1950, 61 (4. März 1950), S. 11 [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-033] Romano Guardini. Der große Religionsphilosoph 65 Jahre, in: Reutlinger General-Anzeiger, Reutlingen, 54, 1950, 27 (18. Februar 1950), S. 14 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-034] Die Verheißung der Kunst (Vorspann der Redaktion), in: Rhein-Neckar-Zeitung, Heidelberg, 6, 1950, 41 (16. Februar 1950), S. 2 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-035] Wolfgang Rüttenauer: Romano Guardini zu seinem 65. Geburtstag, in: Süddeutsche Zeitung, München, 17. Februar 1950 [Gerner RGM 95/62] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-036] Romano Guardini 65 Jahre alt, in: St. Konradsblatt, Karlsruhe, 30, 1950, 9 (26. Februar 1950), S. 101 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-037] Herbert Schönfeld: Romano Guardini. Zum 65. Geburtstag am 17. Februar 1950, in: Esslinger Zeitung, Esslingen/Neckar, 80, 1950, 40 (17. Februar 1950), S. 2 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-039] Romano Guardini, in: Schwäbische Donauzeitung, Ulm, 1950, 39 (16. Februar 1950), S. 5 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-040] Unterscheidung des Christlichen. Zum 65. Geburtstag von Romano Guardini am 17. Februar, in: Schwäbische Post, Aalen, 3, 1950, 41 (18. Februar 1950), S. 4 [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-041] Romano Guardini. Ein Denker christlichen Daseins, in: Schwäbische Zeitung, Leutkirch, 6, 1950, 26 (17. Februar 1950) [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-042] Romano Guardini 65 Jahre alt, in: Schwäbisches Tagblatt, Tübingen, 6, 1950, 27 (18. Februar 1950), S. 4 [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-043] Romano Guardini, in: Südkurier, Konstanz, 6, 1950, 21 (18./19. Februar 1950), S. 2 [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-044] Romano Guardini 65 Jahre, in: Ulmer Nachrichten, Ulm, Nr. 40 (17. Februar 1950), S. 6 [Gerner 182] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-045] Carl Unsöld: Mittler und Meister. Zum 65. Geburtstag von Romano Guardini am 17. Februar, in: Ludwigsburger Kreiszeitung, Ludwigsburg, 2, 1950, 39 (16. Februar 1950), S. 2 [Gerner 181] - [Artikel] - [noch nicht online]
Zu: Friedrich-Hölderlin-Gesellschaft
  • [1950-046] Bericht über die Jahresversammlung der Friedrich-Hölderlin-Gesellschaft am 19. und 20. März 1950 in Tübingen, in: Hölderlin-Jahrbuch, Tübingen, 4, 1950, S. 181-186, zu Romano Guardini S. 184f.: Prof. Guardini wird auf eigenen Wunsch vom Amt des stellvertretenden Präsidenten entbunden [Gerner 265] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=AD9cAAAAMAAJ;
Zu: Leibniz-Kolleg
  • [1950-047] Studentenleben mit neuem Gesicht. Das Tübinger Leibniz-Kolleg, in: Die Zeit, Hamburg, Nr. 12 (23. März 1950), S. 4 [Gerner 261] - [Artikel] - [noch nicht online]
Gottesdienst in St. Ludwig
  • [1950-048] Ankündigung der Katholischen Studenten-Gemeinde: Sonntags 11 Uhr in St.Ludwig Gottesdienst mit Predigt von Prof. Guardini (ab 21. Mai, außer Pfingstsonntag), in: Münchener Katholische Kirchenzeitung, München, 43, 1950, 21 (21. Mai 1950), S. 258 [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]

Widmung

  • [1950-049] Hermann Kunisch: Adalbert Stifter. Mensch und Wirklichkeit. Studien zu seinem klassischen Stil. Romano Guardini in Verehrung und Dankbarkeit, Berlin 1950, 196 S. [Mercker 2430] - [Widmung] - https://books.google.de/books?id=Y4cqAAAAYAAJ;
  • [1950-050] Josef Weiger: Der Leib Christi in Geschichte und Geheimnis, Würzburg, 1950 (mit Geleitwort von Romano Guardini) [neu aufgenommen] - [Widmung] - [noch nicht online]
    • Rezensionen:
      • [1953-000a]: Rezension zu: Weiger, Der Leib Christi in Geschichte und Geheimnis, in: Archiv für Liturgiewissenschaft, 3, 1953 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=TLoTAAAAIAAJ:
        • S. 173: „In einem Geleitwort deutet R. Guardini den Typus, dem das vorliegende Buch angehört: Es ist v. a. ein Buch kontemplativer Versenkung, ohne aber deshalb der wissenschaftl. Grundlage zu entbehren.“


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Liturgie, Volksfrömmigkeit, Gebet, Christliche Kunst und Architektur

Zu: Liturgiewissenschaft/Liturgische Bewegung

  • [1950-051] Eugen Biser: Das Christusgeheimnis der Sakramente, Heidelberg 1950, zu Romano Guardini S. 144 [Gerner 65] - [Monographie] - [noch nicht online]
  • Balthasar Fischer/Franz Xaver Arnold (Hrsg.): Die Messe in der Glaubensverkündigung. Kerygmatische Fragen. (Festschrift für Josef Andreas Jungmann)1950; (2)1953, darin:
  • [1950-055] Josef Hacker: Die Messe in den deutschen Diözesan-Gesang- und Gebetsbüchern, 1950 (Münchener Theologische Studien, Systematische Abteilung, Bd. 1), zu Romano Guardini S. XII., 35, 84 und 132 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=_bLwG2MA1msC
  • [1950-056] Josef Andreas Jungmann: Die Enzyklika „Mediator Dei“ und die katholische Liturgische Bewegung im deutschen Raum, in: Theologische Literaturzeitung, Berlin, 75, 1950, 1 (Januar 1950), Sp. 9-14, zu Romano Guardini Sp. 11 [Gerner 104] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=epY3AQAAIAAJ und http://idb.ub.uni-tuebingen.de/opendigi/thlz_075_1950#p=15; zu Romano Guardini:
    • S. 11: „Es war die Zeit, von der Guardini schon 1922 gesagt hatte: „Die Kirche erwacht in den Seelen“. Gerade in welchem Wortlaut, in welcher deutschen Übersetzung sollte jenes gemeinsame Sprechen geschehen? …“
  • [1950-057] Hans Ansgar Reinhold: Orthodox or heterodox?, in: Orate Fratres (Worship), 1950, 24 (September 1950), S. 450-455 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=hoATAAAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 451: „Under the circumstances, what could be more natural than for a disillusioned man like Heiler to make another confused conclusion, when he actually did see a stirring of life, the liturgical movement, not ordered, organized and commandeered by decree, but growing spontaneously in Belgium and Holland, on the Rhine and on the Danube? "Modernism has risen again, but just wait and see what will happen to you when the Grand Inquisitor finds out about you!" The man never hold papal pronouncements on modernism side by side with the tenets of Mont César, of Maredsous, of Maria Laach, of Pius Parsch and of Romano Guardini. Nobody in his right mind would claim that all of the obiter dicta, all of the dreams spoken in secret and out loud, all of the discussed positions of the liturgical movement from its early stages in Belgium until the day of Mediator Dei, were nothing but sweet reason, elaborations of catechism theses, and never in the least dangerous nor smacking of error! Every movement has its hangers-on, its radicals in the true and in the spurious sense of the word, as well as its true leaders.“

Zu: Liturgischer Kongreß in Frankfurt am Main

  • [1950-058] Der erste deutsche liturgische Kongreß, in: Anzeiger für die katholische Geistlichkeit Deutschlands, Freiburg, 59, 1950, 4, S. 58-62, hier S. 59 (Die Liturgie und die geistige Situation unserer Zeit) [Mercker 2215] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-059] Erster deutscher liturgischer Kongreß, in: Der Überblick. Nachrichten, Berichte, Informationen aus der christlichen Welt, München, 5, 1950, Ausgabe vom 1. Juli 1950, S. 13 [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-060] Liturgischer Kongreß. Mit einem Vortrag von Romano Guardini, in: Die Neue Zeitung, München, 6, 1950, 151 (28. Juni 1950), S. 7 [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-061] [Französisch] Pie Duployé: Le premier congrès allemand de liturgie s´ est tenu à Francfort, in: Témoignage chrétien, Paris, 1950, Nr. 315 (21. Juli 1950), S. 3 [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-062] Elisabeth Ferrari: Vom ersten Deutschen Liturgischen Kongreß, in: Lebendige Seelsorge, Freiburg im Breisgau, 1, 1950, 5, S. 156-158, zu Romano Guardini S. 156 [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-063] (Bericht), in: Freiburger Katholisches Kirchenblatt, Freiburg im Breisgau, 1950, 28 (9. Juli 1950), S. 389, mit Foto: Bischof Stohr von Mainz im Gespräch mit Prof. Guardini und Prälat Wolker [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-064] Deutscher Liturgischer Kongreß 1950 (20.-22. Juni 1950 in Frankfurt am Main), in: Herder-Korrespondenz, Freiburg, 4, 1950, S. 337-338 (Vorankündigung) [Mercker 2740] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-065] Der erste deutsche Liturgische Kongreß, in: Herder-Korrespondenz, Freiburg, 4, 1950, S. 481-484, hier S. 481-482 (Bericht über den Vortrag Guardinis: Die Liturgie und die geistige Situation unserer Zeit) [Mercker 2216] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-066] Leopold Jäger: Der erste Deutsche Liturgische Kongreß zu Frankfurt (20.-22. Juni 1950), in: Die neue Ordnung. Zeitschrift für Religion, Kultur, Gesellschaft, 4, 1950, 4, S. 366-369, zu Romano Guardini hier S. 367 [Mercker 2027] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-067] Josef Andreas Jungmann: Der erste deutsche liturgische Kongreß, in: Stimmen der Zeit, Freiburg im Breisgau, 146, 75, 1950, S. 386-388 (Die Liturgie und die geistige Situation der Zeit) [Mercker 2217] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=YhBHAQAAIAAJ
  • [1950-068] Der erste Deutsche Liturgische Kongreß in Frankfurt am Main vom 20. Bis 22. Juli 1950, in: Klerusblatt, München, 30, 1950, 15 (1. August 1950), S. 239f. [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-069] Edwin Möhrke: "Unser Menschenbild ist falsch". Romano Guardini auf dem Liturgischen Kongreß in Frankfurt, in: Frankfurter Rundschau, 1950, 22. Juni (Die Liturgie und die geistige Situation unserer Zeit) [Mercker 2218] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-070] Pius Parsch: Der erste deutsche liturgische Kongreß, in: Bibel und Liturgie, Klosterneuburg, 17, 1950, 11. August, S. 297-303, zu Romano Guardini S. 298 [Mercker 2030] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-071] Ferdinand Peus: Bericht über den 1. Deutschen Liturgischen Kongreß, in: Bund Neudeutschland. Monatliche Mitteilungen der Bundesleitung, Köln, 3, 1950, 9 (September 1950), S. 1-5, zu Romano Guardini S. 4 [Gerner 108] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-072] Der erste deutsche Liturgische Kongreß in Frankfurt, in: Universitas: Zeitschrift für Wissenschaft, Kunst und Literatur, 1950, S. 1143 f. [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=BYEshKtOlI0C; zu Romano Guardini:
    • S. 1144: „… ferner liegen ein Einheitsgebetbuch, ein Schwesternbrevier und ausgzeichnete „deutsche Psalter“ des über die deutschen Grenzen hinaus bekannten Münchener Liturgikers Romano Guardini vor. Professor Guardini, der beim Kongreß zugegen war, wies in einer Rede in der Aula der Frankfurter Goethe-Universität darauf hin, daß die Liturgie schon in ihrem Wesen nach ein Aufruf zum Mitgehen und Handeln sei. Die Epiphanie, der sinnhafte Eintritt Gottes in die Welt, trete auch in unserem Alltag als Aufstrahlen der Gnade im Meßopfer in Erscheinung und könne in wahrer, nicht allein vom Verstand geleiteter Kontemplation erschaut und erfühlt werden. Doch bei der Säkularisierung und Technisierung unseres Lebens fände der moderne Mensch nur sehr schwer zu dieser inneren Anteilnahme; darum müsse eine aus dem Geist der Wahrhaftigkeit geborene Reform der Liturgie helfend eingreifen.“
  • [1950-073] Damasus Zähringer: Der erste deutsche liturgische Kongreß, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, S. 9-10 und S. 417-427, hier S. 421 (Die Liturgie und die geistige Situation unserer Zeit) [Mercker 2220] und [Gerner 264] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ;
  • [1950-074] ???Guardini und Sartre, in: Münchener Katholische Kirchenzeitung, 1950, 6. August (Bericht über einen Vortrag Guardinis in Frankfurt am Main) [Mercker 2786] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-075] ???Guardini und Sartre, in: Der christliche Sonntag, Freiburg im Breisgau, 2, 1950, 31 (30. Juli 1950), S. 244 [Gerner 266] - [Artikel] - [noch nicht online]

Rezensionen zu: Vom Geist der Liturgie (1918)

  • [1950-076] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, in: Der Prediger und Katechet, Freiburg im Breisgau, 90, 1950/51, S. 380 [Gerner 390] - [Rezension] - [noch nicht online]

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Rezensionen zu: Worte zur Trauung (1931/1939)

  • [1950-077] Alois Natterer: Rezension zu: Worte zur Trauung, in: Klerusblatt, Eichstätt, 30, 1950, 1, 1. Januar, S. 28 [Mercker 3850] - [Rezension] - [noch nicht online]

Rezensionen zu: Besinnung vor der Feier der heiligen Messe (1939)

  • [1950-078] Josef Fuchs: Rezension zu: Guardini, Besinnung vor der Feier der heiligen Messe, in: Scholastik, Freiburg, 25, 1950, 2, S. 314-315 (darin Bezugnahme auf die Auseinandersetzung bzgl. Mahl - und Opfergestalt der hl. Messe) [Mercker 2826] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-079] Rezension zu: Guardini, Besinnung vor der Feier der heiligen Messe, in: Neues Abendland, Augsburg, 5, 1950, 12, S. 519 [Gerner 311] - [Rezension] - [noch nicht online]

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Rezensionen zu: Der Rosenkranz Unserer Lieben Frau (1940)

  • [1950-080] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Der Rosenkranz Unserer Lieben Frau, franz., in: Ami du clergé, Longres, 1950, S. 736 [Mercker 3106] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-081] Rezension zu: Guardini, Der Rosenkranz Unserer Lieben Frau, in: Scrinium, Freiburg in der Schweiz (Fribourg), 1, 1950, 4/5, S. 145 [Gerner 336] - [Rezension] - [noch nicht online]

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Rezensionen zu: Vorschule des Betens (1943)

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Rezensionen zu: Das Jahr des Herrn (1946)

  • [1950-083] Theoderich Kampmann: Rezension zu: Guardini, Das Jahr des Herrn, in: Theologie und Glaube, Paderborn, 40, 1950, 4, S. 380 [Mercker 2972] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-084] Georg ???: Rezension zu: Guardini, Das Jahr des Herrn, in: Begegnung, Köln, 5, 1950, 5, S. 156 [Gerner 325] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-085] Rezension zu: Guardini, Das Jahr des Herrn, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, S. 510 [Gerner 325] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ
  • [1950-086] Berler: Rezension zu: Guardini, Das Jahr des Herrn, in: Luxemburger Wort, Luxemburg, 3, 1950, 44 (20. Dezember 1950) [Gerner 325] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-087] Rezension zu: Guardini, Das Jahr des Herrn, in: Pädagogische Nachrichten, Koblenz, 1950, Heft 9, S. 973 [Gerner 325] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-088] Rezension zu: Guardini, Das Jahr des Herrn, in: Petrusblatt, 6, 1950, 16 (16. April 1950), S. 10 [Gerner 325] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-089] Rezension zu: Guardini, Das Jahr des Herrn, in: Seele, Regensburg, 26, 1950, 3, S. 96 [Gerner 325] - [Rezension] - [noch nicht online]

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Rezensionen zu: Theologische Gebete (1948)

  • [1950-090] Berler: Rezension zu: Guardini, Theologische Gebete, in: Luxemburger Wort, Luxemburg, 1950, 44 (20. Dezember 1950) [Gerner 383] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-091] Rezension zu: Guardini, Theologische Gebete, in: Bibel und Kirche, Stuttgart, 1950, 1/2, S. 60 [Gerner 382] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-090] Rezension zu: Guardini, Theologische Gebete, in: Der Prediger und Katechet, Freiburg im Breisgau, 50, 1950/51, S. 126 [Gerner 383] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-093] Rezension zu: Guardini, Theologische Gebete, in: Die Besinnung, Nürnberg, 5, 1950, 3 (Mai/Juni 1950), S. 186f. [Gerner 383] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-094] Rezension zu: Guardini, Theologische Gebete, in: Scrinium, Freiburg in der Schweiz (Fribourg), 1, 1950, 4/5, S. 145 [Gerner 383] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-095] [Niederländisch] Rezension zu: Guardini, Theologische Gebete, in: Tijdschrift voor theologie, 34-36???, 1950, S. 284 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=_zgmAQAAIAAJ;

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Rezensionen zu: Deutscher Psalter (1950)

  • [1950-096] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Altöttinger Liebfrauenbote, 1950, 25, 25. Juni [Mercker 3143] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-097] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: An heiligen Quellen, Kevelaer, 1950, 1 [Mercker 3145] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-098] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Anzeiger für die katholische Geistlichkeit Deutschlands], Freiburg, 59, 1950, 4. September [Mercker 3146] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-099] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Bischöfliches Ordinariat Regensburg, 1950 [Mercker 3148] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-100] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Bücher-Almanach, Frankfurt am Main, 1950, Frühjahr [Mercker 3150] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-101] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Der christliche Sonntag, Freiburg, 2, 1950, 29, 16. Juni [Mercker 3153] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-102] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Der katholische Beobachter, Köln, 2, 1950, 43, 28. Oktober [Mercker 3156] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-103] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Der katholische Erzieher, Bochum, 1950, 7 [Mercker 3157] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-104] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Der katholische Erzieher, Bochum, 1950, 9 [Mercker 3158] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-105] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Die Neue Zeitung, München 1950, 274, 18. November [Mercker 3161] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-106] Josef Dillersberger: Die neuen Psalmenübersetzungen, in: Heiliger Dienst, Salzburg, 4, 1950, 3 (Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter) [Mercker 3163] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-107] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Dolomiten, Bozen, 1950, 137, 16. Juni [Mercker 3164] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-108] Vinzenz Hamp: Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Klerusblatt, Eichstätt, 30, 1950, 20, 15. Oktober, S. 337 [Mercker 3169] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-109] Heinrich Kahlefeld: Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Münchener Katholische Kirchenzeitung, 1950, 2. April [Mercker 3172] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-110] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Questions liturgiques, Louvain, 31, 1950, 5 [Mercker 3180] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-111] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Luxemburger Wort, Luxemburg, 3, 1950, 44, 20. Dezember [Mercker 3182] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-112] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Neue Bücher, Hamburg, 1950, 2 [Mercker 3183] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-113] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Oberrheinisches Pastoralblatt, Freiburg im Breisgau/Karlsruhe???, 51, 1950, Oktober [Mercker 3184] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-114] Alfred Oehmichen: Zur Nacht. (Texte) aus Deutscher Psalter, in der Übersetzung von Romano Guardini, in: Nordwestdeutscher Rundfunk, Berlin 1950, 7. Juli [Mercker 2198] - [Artikel]/[Radiosendung]/[Typoskript] - [noch nicht online]
  • [1950-115] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Offertenblatt für die katholische Geistlichkeit, Brühl-Köln, 1950, Juni [Mercker 3185] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-116] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Pädagogische Welt, Donauwörth, 1950, 8 [Mercker 3187] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-117] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Revue des sciences religieuses, Strasbourg, 1950, 86, Mai-Oktober [Mercker 3191] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=5sonAQAAIAAJ
  • [1950-118] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Seele, Regensburg, 1950, 6 [Mercker 3194] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-119] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Stuttgarter Nachrichten, Stuttgart, 2, 1950, 21, 14. Oktober [Mercker 3196] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-120] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Suso-Blatt, Konstanz, 1950, 21, 21. Mai [Mercker 3197] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-121] Ernst Tewes: Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Der christliche Sonntag, Freiburg, 2, 1950, 32, 6. August [Mercker 3198] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-122] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Würzburger Diözesanblatt, 96, 1950, 1. April [Mercker 3200] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-123] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Lebendige Seelsorge, Freiburg im Breisgau, 1, 1950, 5, S. 160 [Gerner 340] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-124] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Saat und Sämann, Salzkotten, 4, 1950, 7 (Juli), S. 107f. [Gerner 340] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-125] Annemarie von Puttkamer: Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Rheinischer Merkur, Koblenz/Köln, 5, 1950, 41 (7. Oktober 1950), S. 18 [Gerner 340] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-126] Rezension zu: Guardini, Deutscher Psalter, in: Der Prediger und Katechet, Krailling, 89, 1949/50, 11 (1950), S. 706 [Gerner 340] - [Rezension] - [noch nicht online]

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Jugendbewegung

  • [1950-127] Martin Deubzer/Stephan Wellenhofer: Männliche Jugend, in: Michael Buchberger (Hrsg.): Eineinhalb Jahrtausend kirchliche Kulturarbeit in Bayern, 1950, S. 144-162 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=n84sAAAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 153: „Unter den Bünden der Jugendbewegung entstand zuerst der Quickborn, ursprünglich ein Verein abstinenter Schüler in Schlesien. Nach dem ersten Weltkrieg wurde Quickborn der erste sichtbare Träger katholischer Jugendbewegung. Die Burg Rothenfels am Main war von 1919 an Mittelpunkt und es entfaltete sich dort herrlichstes katholisches Jugendleben. […] (Der) „Bund hatte die Gnade, 1927 in Romano Guardini einen überragenden Führer zu bekommen, der bis heute in jungen Herzen edelstes Streben weckt und lenkt.“
  • [1950-128] Heinz Fleckenstein: Die Kirche und die Pflege der Wissenschaften in der neuesten Zeit, in: Michael Buchberger (Hrsg.): Eineinhalb Jahrtausend kirchliche Kulturarbeit in Bayern, 1950, S. 264-283 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=n84sAAAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 277: „4. Erzieher der wissenschaftlich interessierten Jugend. In diesem Zusammenhang muß auch der geistigen Leistung jener Männer gedacht werden, die als Erzieher und Geleiter der wissenschaftlich interessierten Jugend in den Jahren nach dem ersten Weltkrieg eine ganze Generation geistig aufgeschlossener Männer und Frauen herange- bildet haben. Romano Guardini gehört durch sein packendes Wort und seine zahlreichen hochbedeutenden Schriften ohne Zweifel zu den markantesten Gestalten des deutschen Katholizismus von heute und, als Wegweiser zu Verinnerlichung und Weltverantwortung zugleich, zu den größten geistig-geistlichen Anregern der Epoche. Er schuf in der „Quickborn"-Bewegung und deren Zentrum, der Burg Rothenfels am Main eine Stätte der Pflege liturgischer, geistiger wie geistlicher, wahrhaft religiöser Besinnung, die, heute behütet von seinen Schülern, insbesondere den Münchener Oratorianern, weit in den deutschen Katholizismus Kräfte der geistigen und religiösen Erweckung und Befruchtung ausstrahlt. Es ist ein Ruhm für die bayerische Wissenschaft, daß Guardini nunmehr als Professor in München wirkt.“
  • [1950-129] Walter Vogels: Die Deutsche Jugendbewegung und ihr Beitrag für Jugendleben und Kultur, Phil. Dissertation, Tübingen 1950, zu Romano Guardini S. 10, 22, 34, 58, 83, 94f. und 210 [Gerner 167] - [Monographie]/[Doktorarbeit] - [noch nicht online]


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Pädagogik, Psychologie und Seelsorge (Religionspädagogik und Katechese)

  • [1950-130] F. J. J. Buytendijk: Zur Phänomenologie der Begegnung, in: Eranos-Jahrbuch, hrsg. von Olga Fröbe-Kapteyn, 19, 1950, S. 431-486 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=2p8tAAAAYAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 482 f.: „... oder wie Guardini es formuliert: „Liebe ist die Haltung, die weiß, daß das Eigentliche nur in der Form der Gabe besessen werden kann"[81 Guardini. Notizen zu einem Bilde von Dantes Persönlichkeit. Schildgenossen 18, 1939, S. 229]. Wie scheinbar restlos „natürlich" die Begegnung der Geschlechter sein mag, dennoch ist es ein menschliches Ereignis. Der Mensch überschreitet auch in dieser Weise seines Anwesens im Leibe die Natur seines Leibes in der Richtung eines sinnvollen und darum verstehbaren Entwurfes seines leiblichen Verhaltens. Der Leib, durch den der Mensch in der Liebe anwest, ist „offen werdende Innerlichkeit, sichtbar werdende Seele, anschaubar werdender Geist."[82 Guardini, Hölderlin; Leipzig 1939, S. 24.]"
    • Übersetzungen:
      • [1952-000] [Französisch] Phénoménologie de la rencontre, 1952 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=7UM_AAAAIAAJ zu Romano Guardini S. 55:
        • "... ou selon la formule de Guardini que „l'amour est l'attitude qui sait que le véritable ne peut être possédé que sous la forme du don"[3 GUARDINI, Notizen zu einem Bilde von Dantes Persönlichkeit, dans Schildgenossen, 18, 1939, p. 229] Quelque totalement naturelle que la rencontre des sexes puisse être, elle est néanmoins un événement humain. L'homme dépasse également dans cette manière d'être présent dans son corps la nature de son corps vers un projet significatif, et par consé- quent compréhensible, de son comportement corporel. Le corps par lequel l'homme est présent dans l'amour est "une intériorité devenant ouverte, une âme devenant visible, un esprit devenant objet d'intuition ...»[4. GUARDINI - HÖLDERLIN, Leipzig, 1939, p. 24]."
  • [1950-131] [Niederländisch] Frederik Jacobus Johannes Buytendijk: De psychologie van de roman: studies over Dostojevskij, 1950 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=wg4YAAAAIAAJ; zu Romano Guardini S. 36, 53, 75 und öfters
    • deutsch unter dem Titel: Psychologie des Romans, Salzburg 1966, zu Romano Guardini S. 40, 61, 82f. und 86f. [Gerner 128] - [Monographie] - [noch nicht online]
  • [1950-132] Johanna Herzog-Dürck: Tua res agitur, in: Psyche, 4, 1950, 1, S. 31 ff. [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=s3VFAQAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 43: „Der Mensch, von den Sinnen in aller Präzision als „Problem" erfaßt, wird dennoch durch das Herz als „Mysterium" erlebt. (Vergleiche zur Unterscheidung von problème und mystère G. Marcel; so auch R. Guardini in „R. M. Rilkes Deutung des Daseins“.)“
  • [1950-133] Friedrich Ernst von Gagern: Seelenleben und Seelenführung, Band 1: Selbstbesinnung und Wandlung, 1950; 1951; 1952; 1954; 1956; (5)1958; und öfters [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=ZRl38IJ4nD4C; zu Romano Guardini:
    • S. 50: „Folge davon ist einmal die Gefahr, in der Ausrichtung auf das sechste Gebot einseitig zu werden; zum anderen, daß das Animalische als solches abgelehnt wird und daß viele im Gegenausschlag des Pendels sich bestreben, nach Möglichkeit „reine Geister" zu sein. Damit aber lösen sich diese Menschen wiederum von ihrem eigentlichen Menschsein, das ja den Leib und die Geist-Seele miteinander verbindet. Der Mensch ist nun einmal nicht nur Seelenwesen oder Geistwesen, sondern er ist auch Leib. Und wenn wir zu unserem ganzen Menschsein ja sagen, so dürfen wir das nicht nur im Hinblick auf den Geist, sondern auch auf den Leib tun, der, wie Romano Guardini sagt, „offen werdende Innerlichkeit und sichtbar werdende Seele, anschaubar werdender Geist" ist.“
    • S. 120: „Wie aber lernt der Mensch diese Liebe zu seiner eigenen Person? Guardini sagte einmal, der Mensch könne erst dann lieben, wenn er zuerst von Gott geliebt worden sei. Die Eltern und besonders die Mütter sind also dazu berufen, als Statthalter Gottes diese erste Liebe dem Kind Erlebnis werden zu lassen.“
  • [1950-134] Wunsches Gewalt. Ein Heimabend von nur scheinbar kleinen Dingen, in: Der Jungführer, Düsseldorf/Würzburg, 1, 1950, S. 138-140 [Gerner 119] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-135] Hermann Krings: Bildungswerk München, in: Werkhefte für katholische Laienarbeit, Frankfurt am Main, 4, 1950, 2 (Oktober 1950), S. 37-39, zu Romano Guardini S. 38f. [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-136] Emmy Lüke: Elise Stoffels, in: Katholische Frauenbildung, Paderborn, 51, 1950, S. 114-119, zu Romano Guardini S. 114 [Gerner 140] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-137] Antanas Paplauskas-Ramunas: 5 – La pédagogie aux pays de langue allemande, in: Revista Interamericana de Educacion, 9-10???, 1950, 40-43 (September/Dezember), S. 319-331 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=1ZcjAQAAIAAJ oder https://books.google.de/books?id=6nAQAAAAYAAJ; auch in: L'Enseignement secondaire au Canada. Revue des Collèges et des éducateurs, 29, 1950, S. 13 ff. [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=qg2hqoyKND0C; zu Romano Guardini:
    • 1950, S. 319; 1950, S. 13 (erweist Paplauskas-Ramunas als Schüler Guardinis in Tübingen)
    • dann im Abschnitt: 4. La pédagogie existentialiste:
    • 1950, S. 326; 1950, S. 18: Notre époque peu être caractérisée comme un âge existentialiste: la philopohie [sic!] de l´existence, représentée par Gabriel Marcel, Peter Wust, Romano Guardini, Nicolas Berdiaeff, Karl Jaspers, Martin Heidegger, Jean-Paul Sartre, M. Merleau-Ponty, W. Jankelewitch, J. Wahl, M. Souriau, etc., triomphe non seulement en Europe, …“
    • 1950, S. 331; 1950, S. 22: „Romano Guardini, né le 17 février, 1886, à Vérone, Italie, professeur d'université à Bonn, á Berlin, á Tuebingen, est un philosophe pédagogue catholique de langue allemande qui jouit actuellement d'une renomée internationale. Il publie de brillants articles dans les revues parisiennes comme La vie intellectuelle, (Voir par exemple, Romano Guardini, Le jour du Seigneur, Avril, 1948). Il a donné une conférence retentissante à la Semaine des Intellectuels Catholiques de France (Lire: Les Intellectuels devant la Charité du Christ, éditions de Flore, 10, rue Jean-du-Bellay, Paris, 4). La vision du monde de Romano Guardini est théocentrique, et ecclésiocentrique. C'est eet esprit qui pénètre les ouvrages comme L'Esprit de la Liturgie, Du Sens de l’Eglise, Education liturgique, et les fait retentir dans l'Europe entière. Son principal ouvrage philosophique, Der Gegensatz, La Polarité, développe les notions fondamentales de la philosophie catholique, basée sur le principe de polarité, Gegensatz. Son livre sur Dostoievsky, Religioese Gestalten in Dostojewskijs Werk, Figures religieuses dans l'u- vre de Dostoievsky, Hegner-Buecheri bei Josef Koesel, Muenchen: 1947, (3 éd ), est un chef-d'œuvre, d'une profondeur philosophique et d'une beauté poétique incomparables. L'auteur du présent mémoire, comme ancien élève et étudiant de Romano Guardini, doit dire que Romano Guardini possède une personnalité cristalline, attractive, fascinante et qu'il exerce une influence énorme sur la jeunesse étudiante européenne.“
  • [1950-138] Joseph Sellmair: Moderne Bildungsfragen, München 1950, zu Romano Guardini S. 33 [Gerner 152] - [Monographie] - [noch nicht online]
  • [1950-139] Fritz Stippel: Sozialpädagogische Grundbegriffe, in: Pädagogische Welt, Donauwörth, 4, 1950, 4 („Unser pädagogischer Handweiser“, ohne Seitenangaben), Guardini im Literaturverzeichnis [Gerner 153] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-140] Erich Weniger: Die Pädagogik in ihrem Selbstverständnis heute, in: Die Sammlung: Zeitschrift für Kultur und Erziehung, 1950, S. 740 ff. [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=dl41AQAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 746: „Wilhelm Flitner und ich selbst haben die Eigenständigkeit der Pädagogik dann in der Auseinandersetzung mit protestantischen Theologen wie Delekat und im Gespräch mit Romano Guardini deutlicher zu machen versucht. In diesem Gespräch befinden wir uns heute noch.“
  • [1950-141] Hans Wollasch: Der Erzieher in der Situation der Verwahrlostenerziehung, in: Friedrich Schneider (Hrsg.): Die Jugendverwahrlosung und ihre Bekämpfung: Vorträge des Ersten Internationalen Kongresses über Probleme der Jugendverwahrlosung, 1950, S. 208-230 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=UzMzAAAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 209: „… anstatt seine Hyperästhesie als den subjektiven Modus darzustellen, mit dem er Außersubjektives erfaßte und vollzog, nämlich die Begegnung mit ontischen Wesensmächten, von denen er ergriffen war und deren Verkünder er wurde. „Die Innerlichkeit, auf die es ihm ankam, war keine subjektive Sphäre, sondern der Tiefenbereich des wirklichen Seins, des einzelnen Menschen wie des Volkes, des Stromes und des Berges, der Pflanze und des Tieres, des Landes, der Erde, des Meeres, schließlich der Welt[1) Guardini, Hölderlin S. 194].“
    • S. 212: „Hier liegt vielmehr eine „Fehlentwicklung des Wertsinnes bei normaler seelisch-geistiger Entwicklungsfähigkeit“ (L. Bopp) vor, ein Sachverhalt, den Guardinis Frage meint: „Kann der Geist als Geist erkranken?“ Er antwortet: „Das kann er: von seinem Verhältnis zur Wahrheit her. Nicht schon, wenn er gegen die Wahrheit fehlt; wohl aber, wenn er die Wahrheit als solche aufhebt oder von ihr läßt oder sie zum Zweck unterordnet oder sie vernebelt. Dann erkrankt der Geist; und es wäre schwer zu sagen, wie vieles von den psychisch genannten Krankheiten im Grunde hierher stammt, denn der Geist lebt aus der Wahrheit, aber aus ihm leben das Gemüt und der Leib[5) Romano Guardini, Der Herr, 1937, S. 679.].“
    • S. 214: „Es ist aber auch denkbar, daß außerhalb eines solchen Zwiespalts die Methode das Wesen des betreffenden Wertes verfehlt und verfälscht: wenn z. B. die Wahrheit nicht als selbstmächtige Wirkung geglaubt, sondern mit Zwang und Gewalt angestrebt wird[8) Guardini a.a.O. S. 716. „Die Wahrheit gilt, die Macht zwingt. Der Wahrheit fehlt die unmittelbare Macht; umso mehr, je edler sie ist. Die geringen Wahrheiten haben noch einige Macht dadurch, daß Trieb und Notwendigkeit sie bestätigen; denken wir etwa an jene, welche unsere unmittelbaren Daseinsbedürfnisse betreffen. Je höherem Range die Wahrheit zugehört, desto schwächer wird ihre unmittelbar zwingende Kraft. Desto mehr muß der Geist sich ihr in Freiheit auftun. Je edler die Wahrheit ist, desto leichter kann sie von groben Wirklichkeiten beiseite geschoben oder lächerlich gemacht werden. Desto mehr ist sie auf die Ritterlichkeit des Geistes angewiesen."]; wenn die Liebe von bestimmten Voraussetzungen der Liebenswürdigkeit des Zöglings abhängig gemacht wird; wenn Frömmigkeitsübungen zum Zwecke des Nachweises braven und vorbildlichen Verhaltens erwartet oder durchgeführt werden. In wesenswidriger Weise behielt man zwar bestimmte Werte im intellektuellen Blickfeld, sie verloren aber ihre verbindliche Kraft.“

Zu: Gottes Werkleute/Briefe über Selbstbildung (1921/1925)

  • [1950-142] Friso Melzer: Rezension zu: Guardini, Briefe über Selbstbildung, in: Neubau, München, 5, 1950, 3 (März 1950), S. 128 [Gerner 312] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Theologie, Exegese und Mystik

  • [1950-143] Theodor Bovet: Der Glaube, Erstarrung und Erlösung: eine Besinnung für Gläubige und Ungläubige, 1950 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=cxkMAQAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 112: „Aus der Fülle seien drei moderne Bücher herausgegriffen: „The meaning of prayer“ von Fosdick“, „Vorscshule des Betens“ von Guardini und „Unser Vater“ von Th. Spoerri.“
    • S. 201 f.: „Es gibt schließlich auch den, der ganz sein Jünger wurde, einer von den Zwölfen, und ihm dann in Gethsemane den Kuß gab. Über ihn schreibt Guardini80: „Der Gott, an dem wir glauben, ist der kommende Gott, der bei uns eintritt und sich in die Gewalt unseres Geistes und Herzens gibt. So rechnet Er auf die Treue dieses Herzens, auf die Ritterlichkeit dieses Geistes. Ritterlichkeit – warum? Weil Gott, wenn Er in die Welt eintritt, sich seiner Macht begibt. Seine Wahrheit verzichtet auf die zwingende Gewalt. Sein Gebot verzichtet auf ahnende [sic! eigentlich ahndende) Macht, welche hinter die Tat unmittelbar die Folgen setzt. Gott kommt wehrlos in die Welt. Er ist ein schweigender, geduldiger Gott. Er hat `sich selbst entäußert, indem er Knechtsgestalt annahm' (Phil . 2, 7). Um so tiefer der Anruf an den Glauben: daß er den unscheinbaren Gott erkenne und der wehrlosen Hoheit die Treue halte ... Gibt es aber viele Tage in unserem Leben, an denen wir ihm unser bestes Wissen, unser heiligstes Gefühl, unsere Pflicht, unsere Liebe, nicht für eine Eitelkeit, für eine Sinnlichkeit, für einen Gewinn, für eine Sicherheit, für einen Haß, für eine Rache preisgegeben haben? Ist das mehr als dreißig Silberstücke? Wir haben wenig Veranlassung, über den »Verräter« zu sprechen, als über etwas, was drüben steht, vielleicht noch mit Entrüstung. Uns selbst enthüllt Judas. In dem Maße versteht man ihn christlich, als man ihn aus den bösen Möglichkeiten des eigenen Herzens heraus versteht und Gott bittet, er möge den Verrat, in den wir immer wieder gleiten, nicht sich verfestigen lassen. Denn daß der Verrat sich verfestigt, daß er vom Herzen Besitz nimmt und dieses Herz keinen Weg mehr in die lebendige Reue findet das ist Judas!“ (S. 442-423)“
    • S. 217f.: „So sehen die ersten konkreten Schritte der Umkehr aus, gewissermaßen die Drehung als solche. Die Bekehrung ist aber ein langer Weg, dessen Verlauf durch den Gegensatz gezeichnet ist: Gegensatz zur Sünde, Gegensatz zum »Andern in uns selbst«, das wir gerade überwinden wollen, Gegensatz zu unserem innern Widerspruch und Einswerdung mit dem Einen (Guardini, „Der Gegensatz“, und Vysheslawzeff, „Zwei Wege der Erlösung“)“. Es folgt der Abschnitt: „Der Weg der Gegensätze“ …
  • [1950-144] [Englisch] G. L. D. Rezension zu: de Coninck, Problemes de l´adaption en apostolat, in: Orate Fratres (Worship), 1950, S. 476 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=hoATAAAAIAAJ
    • S. 476: „Much has been written in recent years about the French „Missions,“ and the general problem of what Guardini speaks of as "the Church coming to life in the hearts of men" …“
  • [1950-145] Sister Marie Philip: Mystery or despair?, in: America, 84, 1950, 2 Dezember 1950, S. 280 f. [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=XU93i0zlDtkC; zu Romano Guardini:
    • S. 280: „Original sin is the “lamp of the Catholicity“ of these realists.They know that true progress can be only moral progress, in the individual and by the individual (Baudelaire), within the framework of his life in society (Guardini). In this progress his freedom and his holiness consist (Von Hildebrand). Furthermore, laying hold on Being, they consequently have values (Claudel, Maritain). They are reverent; they make deep and appropriate responses to reality (Von Hildebrand). In their hierarchical world, spirit is above matter and man partakes of both. He is even capable of sharing divine life; he subsumes. Everything beneath him and draws it into the redemptive act, which will end only on the last day.“
    • S. 281: „… the temperament of individual artists (Baudelaire, Bloy, Bernanos, Mauriac, Greene) have caused them to dwell more on the idea oft he „today" of pain-filled , rather than on the "today" of joy-filled, redemption, though both must necessarily figure in their work. A nicer balance is struck in such philosophers, historians and liturgists as Maritain, Dawson, Gilson, Guardini and Von Hildebrand.“
  • [1950-146] [Französisch] Jean Protat: L'Église, pour vous, qu'est-ce que c'est?, 1950 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=U1znDwAAQBAJ&pg=PT34; zu Romano Guardini:
    • S. ??? (34): Dans son ouvrage sur „Le Seigneur“, R. Guardini a écrit: « Voilà l'unité qui lie le Père au Fils, les chrétiens au Père et au Fils, les chrétiens entre eux. Telle est la force qui a soulevé Jésus, la plénitude qui l'a rassasié, l'élément commun qui lui a fait sentir sa consanguinité avec les âmes rencontrées, la grande cause pour laquelle il a travaillé, lutté, souffert. Voilà ce qu'il a recommandé aux hommes comme la chose à la fois la plus puissante et la plus exposée et qui le faisait jubiler quand elle lui montait au coeur.“ (Le Seigneur, p. 127)
  • [1950-147] W. Schneemelcher: Christentum als Kulturmacht Zum 100. Geburtstag Adolf von Harnacks am 7. 5. 1951, in: Evangelische Theologie, 10, 1950/51, Dezember 1950, S. 527-546 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=DnYTAAAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 546: Gewiß ist das, was Harnack als Kultur erlebt und vertreten hat , weitgehend dahingesunken. Man könnte ja durchaus fragen, ob nicht Guardini recht hat, der jüngst „Das Ende der Neuzeit” und ihrer Kultur in einer eindrucksvollen Studie aufzeigte 53). Aber auch wenn es stimmt, daß auf dem Gebiet der Kultur „das, womit wir es heute zu tun haben, tatsächlich etwas anderes“54) ist als die humanistisch-idealistische Kultur des 19. Jahrhunderts, so bleibt die Frage doch gestellt, die Frage nach dem Verhältnis von Evangelium und Welt von Kirche und Kultur.“
  • [1950-148] Alois Wurm: Göttlicher Anspruch und menschliches Ärgernis, in: Seele, Regensburg, 26, 1950, 4, S. 106f., dort auch zu Romano Guardini [Gerner 81] - [Artikel] - [noch nicht online]

Zu: Bonaventura (1921)

  1. [1950-149] Friedrich Gundolf: Briefe. Neue Folge, hrsg. von Lothar Helbing, 1950, S. 245f. “An Romano Guardini … 20. 1II. 1930“ (über Bonaventura) [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=iNEFQuJd7cIC

Rezensionen zu: Vom lebendigen Gott (1930)

  • [1950-150] Rezension zu: Guardini, Vom lebendigen Gott, in: Begegnung, Köln/Koblenz, 5, 1950, 12, S. 334f. [Gerner 392] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-151] Rezension zu: Guardini, Vom lebendigen Gott, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, S. 411 [Gerner 392] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ
  • [1950-152] Rezension zu: Guardini, Vom lebendigen Gott, in: Bund Neudeutschland, Köln, 3, 1950, 10, S. 18f. [Gerner 392] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-153] Rezension zu: Guardini, Vom lebendigen Gott, in: Der Prediger und Katechet, Freiburg im Breisgau, 1950/51, S. 192 [Gerner 393] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-154] Rezension zu: Guardini, Vom lebendigen Gott, in: Lebendige Seelsorge, Freiburg im Breisgau, 1, 1950, 5, S. 159 [Gerner 392] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-155] Rezension zu: Guardini, Vom lebendigen Gott, in: Seele, Regensburg, 26, 1950, 9, S. 288 [Gerner 393] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-156] Rezension zu: Guardini, Vom lebendigen Gott, in: Stimmen der Zeit, Freiburg im Breisgau, 76, 147. Bd., 1950/51, S. 236 [Gerner 393] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=qfjXkNLvQowC


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Rezensionen zu: Vom Leben des Glaubens (1932/35)

  • [1950-157] Rezension zu: Guardini, Vom Leben des Glaubens, in: Begegnung, Köln/Koblenz, 5, 1950, 12, S. 34 [Gerner 391] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-158] Rezension zu: Guardini, Vom Leben des Glaubens, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, S. 411 [Gerner 391] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ
  • [1950-159] Rezension zu: Guardini, Vom Leben des Glaubens, in: Bund Neudeutschland, Köln, 5, 1950, 1/ (Oktober 1950), S. 18f. [Gerner 391] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-160] Rezension zu: Guardini, Vom Leben des Glaubens, in: Der Prediger und Katechet, Freiburg im Breisgau, 90, 1950/51, S. 192 [Gerner 392] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-161] Rezension zu: Guardini, Vom Leben des Glaubens, in: Lebendige Seelsorge, Freiburg im Breisgau, 1, 1950, 5, S. 159 [Gerner 391] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-162] Rezension zu: Guardini, Vom Leben des Glaubens in: Seele, Regensburg, 26, 1950, 9, S. 288 [Gerner 392] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-163] Rezension zu: Guardini, Vom Leben des Glaubens, in: Stimmen der Zeit, Freiburg im Breisgau, 76, 147. Bd., 1950/51, S. 236 [Gerner 392] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=6AxHAQAAIAAJ


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Rezensionen zu: Wille und Wahrheit (1933)

  • [1950-164] Rezension zu: Guardini, Wille und Wahrheit, in: Der Prediger und Katechet, Freiburg im Breisgau, 90, 1950/51, 4, S. 127 [Gerner 403] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Rezensionen zu: Aus dem Leben des Herrn (1933/36)/Der Herr (1937)

  • [1950-165] [Italienisch] Pietro Bottini: Un libro di Romano Guardini: "Il Signore", in: Il Quotidiano, Rom, 1950, 20, S. 7 (Rezension zu: Guardini, Der Herr, ital.) [Mercker 3073] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-166] Rezension zu: Guardini, Der Herr, in: Seele, Regensburg, 26, 1950, 12, S. 389 [Gerner 333] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-167] [Italienisch]??? Luigi Valentini: Rezension zu: Guardini, Der Herr, ital., in: Civitas, Immensee???, 5, 1950, Nr. 7 [Mercker 3074, bei Mercker unter 1975 mit Vermerk, dass Erscheinungsjahr bis Redaktionsschluss nicht festgestellt werden konnte; „Vorliegendes Exemplar ist ein Sonderdruck von vier Seiten; abgelegt im Guardini-Archiv der Bayer. Staatsbibliothek in München; Mappe "Ordo"“] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Zu: Augustinus (1934)/Rezensionen zu: Die Bekehrung des Aurelius Augustinus (1935)

  • [1950-168] Rezension zu: Guardini, Anfang; Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, S. 510 [Gerner 341] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ
  • [1950-169] Rezension zu: Guardini, Anfang; Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Die Union. Zeitung der christlich-demokratischen Union, Dresden, 5, 1950, 4. Oktober [Mercker 3223] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-170] Alfons Heilmann: Rezension zu: Guardini, Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Bayerisches Sonntagsblatt für die katholische Familie, 69, 1950, 48, 26. November [Mercker 3230] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-171] Rezension zu: Guardini, Anfang; Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Lebendige Seelsorge, Freiburg im Breisgau, 1, 1950, 6 (November 1950), S. 191 [Gerner 341] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-172] Müller: Rezension zu: Guardini, Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Über den Tag hinaus. Katalog der Vereinigung evangelischer Buchhändler, Göttingen, 1950 (vor 1938???), Dezember [Mercker 3232] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-173] Sigisbert Oberholzer: Rezension zu: Guardini, Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Das neue Buch, Luzern, 12, 1950, 2-3 [Mercker 3233] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-174] Rezension zu: Guardini, Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Reutlinger General-Anzeiger, 64, 1950, 181, 20. November; [Mercker 3238] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-175] Rezension zu: Guardini, Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Seele, Regensburg, 1950, 11. [Mercker 3245] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-176] Rezension zu: Guardini, Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Stimmen der Zeit, Freiburg im Breisgau, 76, 147. Bd., 1950/51, S. 236 [Gerner 342] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=qfjXkNLvQowC
  • [1950-177] Walter Warnach: Rezension zu: Guardini, Die Bekehrung des Aurelius Augustinus, in: Bücher-Schwann, Düsseldorf, 1950, November oder Dezember, S. 25 [Mercker 3250, bei Mercker „Dezember 1950“; bei Gerner??? „Dezember, S. 25“] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Zu: Augustinus (1934)/Rezensionen zu: Anfang (1944/1950)

  • [1950-178] Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Ambrosius, Donauwörth, 55, 1950, S. 9 [Mercker 2793] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-179] Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, S. 510 [Gerner 307] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ;
  • [1950-180] Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Deutsches Allgemeines Sonntagsblatt, Hamburg, 1950, 44, 29. Oktober [Mercker 2809] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-181] Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Die Union. Zeitung der christlich-demokratischen Union, Dresden, 1950, 4. Oktober [Mercker 2800] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-182] Josef Engert: Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Klerusblatt, Eichstätt, 30, 1950, 20, 15. Oktober, S. 357 [Mercker 2801] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-183] Alois Grillmeier: Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Scholastik, Freiburg, 25, 1950, S. 594-595 [Mercker 2802] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-184] Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Lebendige Seelsorge, Freiburg im Breisgau, 1, 1950, 5, S. 159 [Gerner 307] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-185] Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Luxemburger Wort, Luxemburg, 3, 1950, S. 44 [Mercker 2804] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-186] Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Der Prediger und Katechet, 1950, S. 9f. [Mer-cker 2807] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-187] Rezension zu: Guardini, Anfang, in: Seele, Regensburg, 1950, 6. [Mercker 2808] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Rezensionen zu: Das Bild von Jesus dem Christus im Neuen Testament (1936)


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Rezensionen zu: Das Wesen des Christentums (1938)


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Rezensionen zu: Die christliche Liebe (1940)

  • [1950-190] [Englisch] E.S.: Rezension zu: Guardini, Die christliche Liebe, in: Orate Fratres (Worship), 1950, S. 476 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=hoATAAAAIAAJ
    • S. 476: „The author fears that some scriptural passages are cherished for precious esthetic and poetic reasons and consequently lose almost all meaning. St. Paul´s chapter on charity seems to have suffered especially from such maudlin appreciation. The author interprets the famous chapter in a realistic and satisfying manner by dispelling the fog of sentimentality and by portraying the eternal vigor and newness of the inspired word. Charity gives meaning to spiritual life, is the Christian virtue of daily life, is the eternal virtue. Thus, the pre-eminence of charity over all other gifts and virtues is demonstrated philosophically and exegetically in a penetrating delineation of the mind of St. Paul.“

Rezensionen zu: Die letzten Dinge (1940)


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Rezensionen zu: Glaubenserkenntnis (1944)


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Rezensionen zu: Drei Schriftauslegungen (1949)

  • [1950-193] Rezension zu: Guardini, Drei Schriftauslegungen, in: Der christliche Sonntag, Freiburg im Breisgau, 2, 1950, 23 (4. Juni 1950), S. 184 [Gerner 351] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Rezensionen zu: Christliche Besinnung (1, 1950-8, 1955) (Mercker 761, 762, 814, 815, 862, 913, 914, 1019)

Zu: Christliche Besinnung, Bd. 1

Rezensionen zu: Der Mythos und die Wahrheit der Offenbarung (1950)

Vortrag in Paris (Dritte Woche der katholischen Intellektuellen Frankreichs)
  • [1950-197] [Französisch] Robert Barrat: Romano Guardini nous parle de Chartres et des temps modernes, in: Témoignage chrétien, Paris, 1950, Nr. 305 (12. Mai 1950), S. 1 + 4 (Gespräch/Interview im Umfeld des Vortrags: Der Mythos und die Wahrheit der Offenbarung; enthält Aphorismen, daher auch unter Primärbibliographie) [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online] ; deutsch unter dem Titel: Guardini - Chartres und die Kunst, in: Deutsche Tagespost, Regensburg, 3, 1950, 18. Juli 1950, S. 6 (übersetzt durch Hilde von der Leyen) [Mercker 2181, bei Mercker „Würzburg“ statt „Regensburg“???] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-198] Dritte Woche der katholischen Intellektuellen Frankreichs, in: Der Überblick. Nachrichten, Berichte, Informationen aus der christlichen Welt, München, 5, 1950, Ausgabe vom 1. Juni 1950, S. 9 [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-199] Klara Maria Faßbinder: Humanismus und Gnade. Zur 3. Studienwoche der Katholischen Intellektuellen in Paris 7.-14. Mai 1950, in: Stimmen der Zeit, 76, 147. Bd., 1950, S. 464-466 [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=YhBHAQAAIAAJ;
    • S. 464: "... Im Jahre 1948 hatte diese „Woche der katholischen Intellektuellen“ als Gesamtthema gewählt: „Die Intellektuellen vor der Liebe Christi.“ Damals hatte man nur ganz wenige Deutsche eingeladen. Romano Guardini war der Erste, und man darf es wohl heute verraten, daß es sein italienischer Name war, der seine Wahl wesentlich mitbestimmte. Man war sich noch nicht klar, wie die Pariser Öffentlichkeit auf einen Deutschen „reagieren" würde. Bei diesem Namen würde der berühmte „Mann von der Straße" nicht sogleich ahnen, um was es ging. Wenn aber Guardini dann dastehe und spräche, so würde man, das hoffte man zuversichtlich, ihm Ohr und Herz willig öffnen, und dann wäre für immer die Bresche geschlagen. So erzählte uns Mme. Jeanne Ancelet-Hustache beim Kölner Domfest, und daß sie es dann als Präsidentin jener Sitzung in einer blitzschnellen, gar nicht vorbedachten „Überlegung“ gewagt habe, die Zuhörer zu bitten, Guardini möchte einige Worte auf deutsch an sie richten, damit diese Sprache, die sie so lange als die Sprache todbringenden Schreckens vernommen hätten, nun Worte brüderlicher Liebe in Christus zu ihnen brächte. Guardini folgte ihr (man kann sich seine innere Bewegung denken!). Und das Wagnis, einem liebenden und feurigen Herzen entsprungen, gelang. Der ganze Saal spendete Beifall, der sich nach der meisterlichen Rede Guardinis noch stärker wiederholte . Seitdem haben die Deutschen Heimatrecht auf dieser Woche. Das Thema des folgenden Jahres hieß: „Glaube an Christus und die Welt von heute." Auch damals waren Deutsche da: Guardini, Robert Grosche, Walter Dirks, Otto Roegele. Vielleicht noch einige andere. ..."
    • S. 465: Zu 1950 „Wenn er [der Mensch] schon gebunden ist durch seine physische und psychische Veranlagung, ist er es nicht noch viel mehr durch den Druck von allen Seiten in dieser „Zeit der Idole, Zeit der Verachtung“, wie das Thema am ersten Abend hieß, auf dem Romano Guardini über Wesen und Gewalt der Mythen in alter und neuer Zeit sprach?“
  • [1950-200] [Französisch] Georges Hahn: La semaine des intellectuels catholique, in: La Vie intellectuelle, 18, 1950, S. 721 f. [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=TDXSAAAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 721 f.: „Le provincial que je suis connaissait les deux „Semaines“ précédentes surtout par leur prestige: résonance de leurs thèmes, renom des participants, reten- tissement que leur donnaient la radio, la presse et les volumes publiés. La passage brusque de cette expérience lointaine et admirative à la présence quotidienne ne favorise guère le jugement. […] La programme de la Semaine de 1950, centré (au moins d'intention) autour du thème «Humanisme et Grâce», comportait deux parties sensiblement égales et visiblement différentes la première en contact avec le domaine expérimental biologie, psychologie, sciences sociales; la seconde ouverte aux activités de l'esprit: Littérature, philosophie, théologie. Le tout tenu (plus ou moins solidement) par deux fortes „parenthèses“: la soirée d´ouverture („Temps des idoles, Temps du mépris») et la manifestation de clôture («L'Homme et le don de Dieu»). Les deux exposés du début - celui si juste et si simple dans le ton de Pierre Jouguelet et la conférence de M. Romano Guardini - annonçaient la cohésion que devait présenter la deuxième partie de la Semaine. Sur le plan de la création littéraire , de la recherche philoso- phique et de la réflexion théologique, les intellectuels chrétiens d'aujourd'hui vivent dans l'intimité des conflits contemporains. Sans sacrifier au jeu dialectique des „conciliations“, leur conscience réussit à éprouver dans un même instant la réalité humaine et la réalité de la foi, souffre qu'elles s'affrontent et s'exacerbent, accepte d'être le lieu déchiré de leurs ruptures. Il n'en va certainement pas de même pour les réalités scienti- fiques. Une expérience simultanée de deux perspectives divergentes telle que M. Guardini nous la transmit en parlant du mythe et de la foi nous ne l'avons pas obtenue pour la biologie, la psychologie ou la sociologie.“
  • [1950-201] Tagung der katholischen Akademiker Frankreichs, in: Herder-Korrespondenz, Freiburg, 4, 1950, S. 441-442 (zu Romano Guardinis Vortrag auf der "Semaine des Intellectuels catholique" in Paris, Mai 1950; Der Mythos und die Wahrheit der Offenbarung) [Mercker 2182] und [Mercker 2739] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-202] Alois Mertes: Der Mensch und die Gnade, in: Dokumente, München/Kempten, 6, 1950, 4, S. 372-374, zu Romano Guardini S. 372 [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-203] Alois Mertes: Der moderne Mensch und die Gnade Christi, in: Schweizer Rundschau, 50, 1951, S. 244f., zu Romano Guardini S. 245 [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=axIYAQAAIAAJ;
  • [1950-204] René Michel: Humanismus und Gnade. Pariser Woche der katholischen Intelektuellen 1950, in: Die Besinnung, Nürnberg, 5, 1950, 4/5 (Juli/Oktober), S. 220-227, zu Romano Guardini S. 220 [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]
Vortrag in Ulm
  • [1950-205] ???Ankündigung eines Vortrags von Prof. Guardini am 24. Juli 1950, 20 Uhr mit dem Thema „Mythos und Offenbarung“, in: Ulmer Monatsspiegel, hrsg. von der Ulmer Volkshochschule, Juli 1950, S. 16 (evtl. Terminverschiebung angekündigt) [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-206] ???Vortragsbericht zu: Romano Guardini: „Mythos und Offenbarung“, in: Ulmer Nachrichten, Ulm, 1950, Nr. 164 (19. Juli 1950), S. 5 [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]


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Rezensionen zu: Gläubiges Dasein (1950/51)

  • [1950-207] Generalsekretariat des Zentralkomitees der Deutschen Katholikentage (Hrsg.): Zuerst das Reich Gottes. 74. Deutscher Katholikentag Passau 1.-3. September 1950. Werktagung Altötting 29. August bis 1. September 1950, Paderborn 1950, zu Romano Guardini S. 17-19, 77, 115f. [Gerner 264] - [Monographie] - [noch nicht online]
  • [1950-208] Werktagung des 74. Deutschen Katholikentages, in: Der Überblick. Nachrichten, Berichte, Informationen aus der Christlichen Welt, München, 5, 1950, Ausgabe 15, 9, 1950, S. 5-6 [Gerner 264] - [Artikel] - [noch nicht online]


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Zu: Kann man Gott sehen?

Vortrag in München
  • [1950-209] Ankündigung Religiöses Bildungswerk: Vortrag Prof. Guardini: „Kann man Gott sehen?“ am 16. Januar, 19:45 Uhr (Universitätshörsaal 331), in: Münchener Katholische Kirchenzeitung, München, 43, 1950, 3 (15. Januar 1950), S. 35 [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]
Vortrag in Ulm
  • [1950-210] Otto Aicher: Kann man Gott sehen? Unterwegs im Auto mit Romano Guardini, in: Münchner Merkur, 1950, 48 (17. Februar), S. 4 [neu aufgenommen] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-211] Ankündigung eines Vortrags von Prof. Guardini auf 6. Februar 1950, 20 Uhr zum Thema „Kann man Gott sehen“, in: Ulmer Monatsspiegel, hrsg. von Ulmer Volkshochschule, Ulm, Februar 1950, S. 19 (Vortragsbericht nirgends zu finden; Gerner mutmaßt daher, dass der Vortrag ausgefallen sein könnte, siehe auch Plakat mit späterem Termin) [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-212] Otto Aicher: Plakat: Religiöse Bildungsarbeit. Vortrag. Romano Guardini „Kann man Gott sehen?“ Montag, 13. März [1950] Schuhhaussaal 20 Uhr - [neu aufgenommen] - [Plakat] - [nicht mehr online]

Zu: Gibt es eine Psychologie Jesu?

  • [1950-213] Ankündigung Religiöses Bildungswerk: Vortragsreihe Prof. Guardini: „Gibt es eine Psychologie Jesu?“ (jeden Dienstag 19.30 Uhr in St. Ursula), in: Münchener Katholische Kirchenzeitung, München, 43, 1950, 3 (15. Januar 1950), S. 35 [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]


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Philosophie, Ethik und Politik (Religionsphilosophie und Moraltheologie)

  • [1950-214] [Englisch] Jean Daniélou: The Conception of History in the Christian Tadition, in: On the Meaning of History. Papers of the Ecumenical Institute (Geneva: The Ecumenical Institute, 1949), 1950, S. 67-79 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=c9NKAAAAMAAJ; auch in: The Journal of Religion, 30, 1950, S. 171-179 [neu aufgenommen] – [Artikel] – [noch nicht online]; zu Romano Guardini:
    • S. 78: „The fault of the pagan religions is in not knowing how to efface themselves in the face of the revealed religion. Here we see that Guardini calls the drama of the precursors. The proper role of precursors is to efface themselves before that which must succeed them. So John the Baptist before Jesus, and so, in a parallel scene, at the juncture of the cosmic.“
  • [1950-215] Hermann Diem: Die Existenzdialektik, 1950 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=IKPRAAAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 2 f.: „Seit die Katholiken Theodor Häcker, Romano Guardini, Erich Przywara u. a. sich mit Kierkegaards Werk befaßt haben, ist von daher ein neuer Anstoß in die Kontroverstheologie gekommen[4. … Romano Guardini, Der Ausgangspunkt der Denkbewegung bei Sören Kierkegaard, Hochland, 24. Jahrg., S. 12 ff. …]
  • [1950-216] Ludwig H. Adolf Geck: Christliche Sozialprinzipien. Zum Aufbau einer Sozialtheologie, in: Theologische Quartalschrift, Stuttgart, 130, 1950, S. 28-53, zu Romano Guardini S. 35 (zu: Guardini, Die Bedeutung des Dogmas vom dreieinigen Gott für das sittliche Leben der Gemeinschaft) und 37 (zu: Guardini, Dante) [Gerner 68] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=_nQv53Y3HyIC und http://idb.ub.uni-tuebingen.de/opendigi/thq_1950#p=36
  • [1950-217] Ludwig H. Adolf Geck: Sozialtheologie als Aufgabe, in: Trierer theologische Zeitschrift, 59, 1950, S. 161-171, zu Romano Guardini S. 170 [neu aufgenommen???] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=z8MtAAAAYAAJ
  • [1950-218] Heinrich Kipp: Nominalistisches oder realistisches Rechtsdenken, in: Forum der Rechtsphilosophie. Ein Sammelband hrsg. von Ernst Sauer, 1950, S. 95-139 [neu aufgenommen] – [Artikel]r - https://books.google.de/books?id=4YJlIRXuhKAC; zu Romano Guardini mindestens:
    • S. 117 f.: [51) Man vgl. die Übersetzungen bzw. Darstellungen in: Platon , Hauptwerke, S. 69 ff . (Stuttgart 1938); oder bei Guardini, a. a. O., S. 181 ff.; …]“ […] „Bisher sind unseres Erachtens nur drei mögliche Pfade gegangen worden: Der platonische, der aristotelische und der Weg des Glaubens an eine übernatürlich geoffenbarte Wahrheit, der aber hier für unsere Betrachtungen ausscheidet. Den platonischen hat Guardini in seiner Interpretation des Phaidon unübertrefflich dargestellt:“ Es folgt ein langes Zitat aus [53) a . a . O. , S. 285 f.]
    • S. 119 f.: „Erkenntnis im platonischen Sinn ist also das Schauen der Idee und zwar durch die Dinge hindurch oder über die Dinge hinaus als Nachbildern des Eigentlichen; Wahrheit ist das Hervortreten der Idee im geistigen Blick; als Wahrheitserkenntnis ermöglicht durch die Uridee des Guten selbst, das die Dinge offen und für den schauenden Blick durchdringbar macht, den erkennenden geistigen Akt wie auch die Ideen selbst durchlichtet, damit sie geschaut, erkannt werden können.[55) Vgl. Guardini, a.a.O., S. 293 ff.] Dieser gnze Sinnverhalt ist nicht im strengen Sinn beweisbar. Er ist aber nicht sinnwidrig und kann daher überzeugende Einleuchtungskraft besitzen. Er gewährt Raum für eine lebendige intellektuelle Wesensschau der Wirklichkeit. Einen anderen Weg gehen Aristoteles und die ihm folgenden realistischen Philosophen. Für sie ist Wahrheit etwas, was dem konkreten Sein zukommt. Die Dinge selbst sind für sie in kategorialer Ordnung gebaut. Die Erkenntnis beginnt mit den Sinnen. Der Verstand versucht, deren Wahrnehmungen rational zu durchdringen, mit Hilfe der abstrahierenden Kraft der Vernunft das Gefüge der Wesenheiten zu begreifen und im Begriff das Wesen darzustellen. Oder anders ausgedrückt: In jedem von den Sinnen umgreifbaren konkreten Sein finden sich Formen, die das Sosein des Dinges ausmachen, die das einzelne zu dem machen, was es ist, die also sein Wesen ausdrücken, das nicht mehr den Sinnen faßbar ist, sondern im Wege der Abstraktion, der gedanklichen Ablösung aus den einzelnen Dingen, dem rationalen Erkennen als das dem konkreten Einzelnen zugrunde liegende Allgemeine zugänglich ist, das reale Gegenstück zum menschlichen Begriff.[56) Vgl. Guardini, a.a.O., S. 203 u. 264; …]“
    • S. 138: „Guardini spricht in seiner Analyse des Kriton über die geistige Stellung Platos: „Daß das Sittlich-Gute mit dem Wahren eins und beides Zusammen im Heilig-Guten verankert ist, das Gewissen aber die innerste Antwort des lebendigen Menschen auf die ewige Forderung bildet, macht die Weite des platonischen Geistes aus.» (Seite 179/180.)“
  • [1950-219] [Niederländisch] Bernard Klein Wassink: Credo quia absurdum? Het belang van de existentiephilosophie voor de eristische theologie, 1950 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=71wVAQAAIAAJ; zu Romano Guardini mindestens S. 72, 138 und 143
  • [1950-220] Erich Przywara: Krise des Abendlandes, in: Philosophisches Jahrbuch der Görres-Gesellschaft, 1950, S. 385-405, zu Romano Guardini S. 398 [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=MA4jAQAAIAAJ und https://philosophisches-jahrbuch.de/wp-content/uploads/2018/12/PJ60_S385-405_Przywara_Krise-des-Abendlandes.pdf
  • [1950-221] Walter Rest: „Die Dialektik des Geistes“ und der „Historische Materialismus“, in: Wilhelm Vernekohl (Hrsg): "Ich befinde mich in absoluter Sicherheit": Gedenkbuch der Freunde für Peter Wust, 1950, S. 145-154 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=ISpFAAAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 148: „Die Natur des Menschen faßt er antinomisch, nicht aber dualistisch auf. Er schließt sich darin der „Metaphysik des Gegensatzes auf personalistischer Grundlage“2 an, wie sie Romano Guardini entwickelt hat. Die Analyse dieser Grundstruktur des Menschen gehört wohl zu den aufregendsten Kapiteln seines Werkes.“
  • [1950-222] Richard Schwarz: Das Problem einer christlichen Philosophie, in: Philosophisches Jahrbuch, 1950, S. 218-248, zu Romano Guardini S. 228 [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=MA4jAQAAIAAJ und https://philosophisches-jahrbuch.de/wp-content/uploads/2018/12/PJ60_S218-248_Schwarz_Das-Problem-einer-christlichen-Philosophie.pdf
  • [1950-223] Hermann Ullmann: Die Tragödie der Volksdeutschen, in: Schriftenreihe der Ackermann-Gemeinde, Heft 2: Sudetendeutsche rufen Europa. Jahrestagung 1950 der Ackermann-Gemeinde, München 1950, S. 24-32 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=OaYQAQAAIAAJ oder https://books.google.de/books?id=Zu4PAQAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 29: „Das Volk ist der Uebergang von der Natur zur Geschichte, wie es Guardini so fein ausdrückte. Es ist so heilig, wie alles, was uns Gott anvertraut hat. Es ist kein Verbrechen, für das Volk einzutreten, sondern im Gegenteil unsere Pflicht. Der Staat ist ein Menschenwerk, ein Volk ist Gotteswerk. Aber es ist immer schwer, die Grenze einzuhalten, nicht statt des Schöpfers, das Geschöpf zu verehren.“
  • [1950-224] August Zechmeister: Theologie der Gemeinschaft. Ein methodologischer Versuch, Theol. Dissertation, Wien 1950 (masch.), S. 122-174: Gemeinschaft als Objekt der Weltanschauungslehre Romano Guardinis, außerdem S. 29, 423, 109, 112, 177, 179, 181f. und 184 [Gerner 62] - [Monographie]/[Doktorarbeit] - [noch nicht online]

Rezensionen zu: Vom Sinn der Schwermut (1928/1949)


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Rezensionen zu: Der Tod des Sokrates (1943)

  • [1950-226] Hans Gerstinger: Rezension zu: Guardini, Der Tod des Sokrates, in: Anzeiger für die Altertumswissenschaft, 3, 1950, S. 110f. [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=-yLVAAAAMAAJ
  • [1950-227] [Englisch] Theodor E. James: Rezension zu: Guardini, The Death of Socrates, in: The Catholic Library World, 22, 1950/51, 1 (Oktober 1950), S. 28 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=qOvHAAAAIAAJ, https://books.google.de/books?id=-2saAAAAMAAJ oder https://archive.org/details/sim_catholic-library-world_1950-10_22_1/page/28/mode/2up:
    • S. 28: „The theme of death has been treated in every known literary form and from every possible aspect by poets, dramatists, novelists, scholars, historians, and masters of the religious life. Father Guardini gives us her a philosopher´s view of death, not in the abstract but in a concrete historical setting. The philosopher is actually dying to life and living through death. The author brings out in a clear , concise , and profound way how the death of Socrates is actually a fulfillment of the depths of his philosophical quest . By death the master of Plato will pass through the last barrier to the heights of the noetic union with the absolutes and the ideas and through them to the Absolute of absolutes, the Good Itself, in itself. By means of a skillful synthesis of significant passages from the four Platonic Dialogues Euthyphro, Apology, Crito, and Phaedo - we relive the accusation, trial, and triumph of Socrates. In the first, he stands out in bold contrast with Euthyphro, the symbol of an irrational adherence to customary, anthropomorphic, outmoded, and unscientific religious myth. In the second, we see the polar difference between Socrates and the representatives of a life centered on power, wealth, and success to the detriment of virtue. In the Crito, the social responsibility of Socrates' way of life stands out in opposition to political opportunism. In the Phaedo, the driving , dynamic basis of his life becomes apparent when he explains his intelligent insight into the immortal nature of his soul and the meaning of life. Father Guardini has accomplished his purpose well; he has given a philosophical interpretation of the contents of these Dialogues within the framework of the death of a philosopher and has thereby brought that content closer to the truth itself, howsoever it is dramatized in them.“
  • [1950-228] [Englisch] Albin Lesky: Rezension zu: Guardini, Der Tod des Sokrates, in: Erasmus. Speculum Scientarium, 3, 1949/50, (1950), S. 279-281 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=x-_yAAAAMAAJ


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Rezensionen zu: Der Heilbringer in Mythus, Offenbarung und Politik (1946)


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Rezensionen zu: Freiheit, Gnade, Schicksal (1948)

  • [1950-232] [Englisch] Alfons Beil: Rezension zu: Guardini, Freiheit, Gnade, Schicksal, in: Renascence, 3, 1950, S. 57 f. (ins Englsiche übersetzt von Joseph Schwarz) [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=tq23g5-wC7AC oder https://www.pdcnet.org/renascence/content/renascence_1950_0003_0001_0057_0058:
    • S. 57 f.: "Guardini presents this latest of his works as only an attempt at an interpretation of human existence. But we know that we would find more: an abundance of penetrating insights, subtle but always vital distinctions and correspondences, and an overwhelming wisdom of life. And all this in a simple and unpretentious language, that really serves the truths it conveys, and so bringst hem home to us making us stop and think ever so often. Speaking (in the chapter on grace) of creativeness, of inspiration and accomplishment, this book make us realize that only he who knows from experience can thus speak of creative work and give such a good example of it. In his three chapters, Guardini inquires into the problems of freedom, grace, destiny, first on the natural plane, both moral and religious in a universal sense; then he investigates their importance for the Christian life in the light of the supernatural. His method is at first "phenomenological"; he describes, in his well-known piercing exactness, the respective facts and data, natural and revealed. But very often also he deals with these problems philosophically in the proper sense of the word. Thus, for example, he speaks about the logical implications of the free act. Once he warns us against "a-philosophical theologians"; another time, when speaking of the alleged non-validity of the principle of causality of the microcosm, against a-philosophical scientists, although he doesn't use the term. But his controversial discussions are al- ways courteous: he fights as though he didn't. Again and again we have to face paradoxical, startling, challenging statements. Thus he says: In St. Paul's trusting the God that approaches him in Jesus Christ, in the apostle's giving Him room, God Himself becomes free. Or: God, in loving the world, suffers destiny. But each time the assertion loses ist startling character through a careful and deep-going explanation. Guardini´s presentations never loses contact with our present time. There is hardly a significant event or an important phenomenon of our days which he doesn´t touch upon in the course of his interpretations. Here it will be of interest, especially for the American reader to notice that Guardini is a Christian and a priest who never for a moment has bowed tot he demons of those twelve years of horror. His integrity has come out oft hat time untouched, and he certainly need not be ashamed of anything he spoke or wrote then. What he now says of the free action as a task and of the limits of freedom will therefore be all the more significant. Guardini's book is a fruit of a mind that is wide open to reality and singularly free from illusions. But for this very reason and in spite of many a disturbing statement there is no trace of a paralysing pessimism. We feel the deep, quiet breath of faith which is the victory over the world, ex- pressly summed up in the last lines of the book: "For in hope were we saved. But hope that is seen, is not hope. For how can a man hope for what he sees? But if we hope for what we do not see, we wait for it with patience.“
  • [1950-233] Rezension zu: Guardini, Freiheit, Gnade, Schicksal, in: Christ und Welt, Stuttgart, 3, 1950, 4 (26. Januar 1950), S. 11 [Gerner 354] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-234] Um menschliche und christliche Existenz, in: Der christliche Sonntag, Freiburg, 2, 1950, 34, 20. August (Rezension zu: Guardini, Freiheit, Gnade, Schicksal) [Mercker 3324] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-235] Rezension zu: Guardini, Freiheit, Gnade, Schicksal, in: Die Union. Zeitung der christlich-demokratischen Union, Dresden, 5, 1950, 4. Oktober [Mercker 3325] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-236] Franz König: Rezension zu: Guardini, Freiheit, Gnade, Schicksal, in: Die Zeit im Buch, Wien, 3, 1950, 4, 26. Januar [Mercker 3334] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-237] Damasus Zähringer: Rezension zu: Guardini, Freiheit, Gnade, Schicksal, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, S. 326-327 [Mercker 3341] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ
  • [1950-238] Hermann Zeller: Rezension zu: Guardini, Freiheit, Gnade, Schicksal, in: Zeitschrift für katholische Theologie, Innsbruck, 72, 1950, S. 245 [Mercker 3342] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Rezensionen zu: Das Ende der Neuzeit (1950)


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Vortrag in Calw über Politische Erziehung

  • [1950-245] Einladung zur „Tagung für politische Erziehung“ 16. bis 19. Mai 1950 in der Staatlichen Akademie (für Lehrerweiterbildung) in Calw/Württemberg, in: Pädagogische Rundschau, Ratingen, 4, 1949/50, (wohl März 1950), S. 285 [historisch relevant]: Prof. Guardini unter den Vortragenden angekündigt [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]


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Literatur, Sprache und Kunst

  • [1950-246] Horst Böning: Um Stefan George, in: Die Sammlung: Zeitschrift für Kultur und Erziehung, 5, 1950, S. 493 ff. [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=dl41AQAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 497: „Der Geist in der Geschichte war respektlos genug, sich nicht an diese Verordnung gehalten zu haben. Auch ein Romano Guardini beispielweise hat sich erlaubt, ohne „eigene Anschauung" das herrliche Buch über den „Tod des Sokrates" zu schreiben, und wir wissen ihm tiefen Dank dafür.“
  • [1950-247] Hermann Heuer: Der Geist und seine Ordnung bei Shakespeare. Festvortrag 1948, in: Shakespeare Jahrbuch, 84/86, 1950, S. 40-63 [neu aufgenommen] – [Artikel] -, https://books.google.de/books?id=8wFEAAAAYAAJ; dann in: Karl Ludwig Klein (Hrsg.): Wege der Shakespeare-Forschung, 1971, S. 20-48 (Wege der Forschung; 115) [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=20oyaQqemf4C; zu Romano Guardini:
    • 1950, S. 51/1971, S. 34: „Allein Shakespeare steht in der Wendezeit. In der Neuzeit beginnt die Welt, sich zu dehnen, wie Guardini bemerkt. Mitte, Ordnung, Ewigkeitsbezug gehen verloren. In der Renaissance bricht das Erlebnis der Weltmächtigkeit durch. „Die Welt erscheint als ein Ungeheures von Wirklichkeit; an Stoffen und Kräften, Gestalten und Geschehnissen, Aufgaben und Taten, Spannungen und Ordnungen, Herrlichkeiten und Schrecklichkeiten."28 Man wird der Kräfte inne, die sie durchfluten, man erlebt, wie sie Gewalt übt und zerstört, aber auch beglückend und erfüllend ist.“
    • 1950, S. 57/1971, S. 41: „Es gibt Dynamik des Werdens, die Möglichkeit und Gefährlichkeit des Chaos. Dies unvorhersehbare, nicht definierbare Moment der Fülle, der Gegensätzlichkeit, des aller Form Entgleitenden äußert sich im personalen Raum etwa darin, daß eine Gestalt nicht auf eine eindeutige Formel gebracht werden kann, wie etwa die Hamlets. Solche Figuren sind in beständigem Werden und Sichwandeln und dennoch Einheit in ihrem Fühlen, Denken und Wollen. In der Rolle, die sie spielen, in den Schicksalen, die sie erleiden, in den Beurteilungen, die sie erfahren, tritt ähnlich wie etwa bei einem Dostojewski eine „entmutigende Vieldeutigkeit“ (Guardini) zutage.“
  • [1950-248] Beda Hüppi: Versuch über den Stil Bossuets, Diss. 1950 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=lNPUAAAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 39: „Pascal fühlt sich im unendlichen Weltenraum nicht mehr «zu Hause», vielmehr greift in ihm ein unheimliches Gefühl der Verlorenheit im Raume Platz. (Frg. 206: «Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie.») [1 Zum Pascal'schen Raumgefühl vgl. R. GUARDINI: Christliches Bewußtsein. Versuche über Pascal. Hegner, Leipzig 1935, p. 73 ff.] Für Bossuet aber bleibt die Welt ein „schönes Gebäude2, in das der göttliche „Baumeister“ den Menschen hineinstellt: …“
  • [1950-249] Karl Kerényi: Labyrinth-Studien. Labyrinthos als Linienreflex einer mythologischen Idee, 1950, zu Romano Guardini S. 62 (Verweis auf Guardini, Zu Rainer Maria Rilkes Deutung des Daseins) [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=61sJAQAAMAAJ; [Italienisch] unter dem Titel: Nel labirinto [Monographie] - https://books.google.de/books?id=lxsuDwAAQBAJ
  • [1950-250] Wolfgang Schemme: Vom „Politischen Mandat“ der Literaturpädagogik, in: Wirkendes Wort, 19, 1950, 6, S. 376-402 [neu aufgenommen] – [Artikel] https://books.google.de/books?id=BgI3AAAAIAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 381: „Denn – so sieht es z.B. auch Guardini in seinem Buch „Das Ende der Neuzeit“ – die Masse ist keine Entwertungs- und Zerfallserscheinung, wie etwa der Pöbel des alten Roms, sondern eine menschlich-geschichtliche Grundform, die zu voller Entfaltung im Sein wie im Werk gelangen kann …[16 R. Guardini, Das Ende der euzeit, Basel 1950, zit. nach der 3. Auflage, Lizenzausgabe Würzburg, S. 68] Die dynamisch-demokratische Mitarbeit des einzelnen im Rahmen der Industriegesellschaft ist durchaus eine positive Form der Selbstverwirklichung des modernen Menschen. Seine Existenz kann in dieser Welt nur eine politische sein.“
  • [1950-251] [Englisch] Kenneth Wimsatt: Romano Guardini as a literary interpreter, 1950 [neu aufgenommen] - [Artikel] - [noch nicht online, siehe aber https://books.google.de/books?id=NQB-NwAACAAJ], siehe auch Rezension, in: The Grail, St. Meinrad, 35:56 Mr ´53

Zu: Dante (1931)

  • [1950-252] Kurt Leonhard: Der gegenwärtige Dante: Sinn und Bild in der Göttlichen Komödie, 1950 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=wrYIAQAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 75: „Jedenfalls ist das Visionäre, wie Guardini darlegt, der eigentliche Charakter der Comedia.“
    • S. 81: „Da das Empyreum überall von den Strahlen Gottes erfüllt ist, ergibt sich die Folgerung, daß die Himmelsrose an jedem Punkte der Sphäre entfaltet ist, also ebenso ortlos wie zeitlos. [1 Es ließ sich nicht vermeiden, hier manche Dinge noch einmal zu sagen, die sich z.T. schon bei Guardini treffend ausgesprochen finden.]
  • [1950-253] Edward Quinn: German Reviews, in: The Dublin Review, 224, 1950, First Quarter, S. 140 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=SfkhAAAAMAAJ oder https://books.google.de/books?id=h0chGk4tTE4C; zu Romano Guardini:
    • S. 140: „Hochland for October contains an illuminating article by Romano Guardini on Dante's treatment of thieves in the Inferno. That theft is often a mortal sin is well-known to us, but the painful and horrible transformations of these sinners as depicted by Dante seem to be quite out of proportion with the rest even of so lurid a picture . The point is, says Guardini, that the Middle Ages had a keen sense of property as an extension of the personality: a man's goods were not simply those he had been fortunate enough to acquire, they were there because they pertained to his state and dignity. The thief, having struck at the person, must suffer the transformation of his own being: losing first the externals, then the human form itself, degraded painfully to the form of a serpent and left finally uncertain of possessing or of being anything. There is far more in Dante than the lines themselves might immediately suggest, there is a wealth of knowledge latent there even beyond the riches which he consciously and deliberately expressed.“

Zu: Dostojewskij (1931)/Zu: Religiöse Gestalten in Dostojewskijs Werk (1939)

  • [1950-254] Reinhard Lauth: „Ich habe die Wahrheit gesehen.“ Die Philosophie Dostojewskis, 1950; [Alternativtitel: „Die Philosophie Dostojewskis in systematischer Darstellung“], zu Romano Guardini S. 11, 13, 23, 32f., 45, 95, 104, 113, 444, 465, 504 und 560 [neu aufgenommen] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=mb4CAAAAMAAJ
    • Rezensionen:
      • [1951-000a] N. v. Bubnoff: Rezension zu: Lauth, Ich habe die Wahrheit gesehen. Die Philosophie Dostojewskis in systematischer Darstellung, in: Philosophischer Literaturanzeiger, 3-4???, 1951???, S. 110 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=yYRfxyix3XsC; zu Romano Guardini:
        • S. 110: „In den Büchern von Rosanow, Mereschkowski, Berdjajew, Schestow, W. Iwanow, Nötzel, Guardini, Steinbüchel, André Gide u. a. scheint alles Wesentliche erschöpfend gesagt zu sein.“
      • [1951-000b] B. Schultze: Rezension zu: Lauth, Die Philosophie Dostojewskis in systematischer Darstellung, in: Orientalia christiana periodica: Commentaril de re orientali aetatis christianae sacra et profana, Bände 17-18???, 1951???, S. 469-472 [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=w9bjAAAAMAAJ; zu Romano Guardini:
        • S. 470: „Dostojewskij ist „christlicher Philosoph“, ist „Laientheologe“, ist Theosoph oder Gnostiker, d. h. er schaut Natur und Übernatur, Vernunft und Glaube zusammen.(Daher hatte Romano Guardini sein Dostojewskijbuch zuerst sehr prägnant „Der Mensch und der Glaube“ betitelt.) Eine Scheidung von Philosophie und Theologie lässt sich bei Dostojewskij nicht durchführen.“
      • [1953-000a] [Spanisch] P. Tiján: Rezension zu: Lauth, Ich habe die Wahrheit gesehen. Die Philosophie Dostojewskis in systematischer Darstellung, in: Revista de filosofía, 12, 1953, S. 327 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=HDNGcMcFvlMC
        • S. 327: „El excelente libro de Guardini (Religiöse Gestalten in Dostojewskijs Werk, Munich, 1939) fué el primer indicador seguro de cómo deberían encaminarse las investigaciones de la filosofía de Dostoevskij y, además, la prueba suficiente, aunque parcial, de la riqueza del contenido filosófico, psicológico y religioso de su obra. Pero ni Guardini, como tampoco otros filósofos y críticos, consiguieron abarcar el pensamiento de Dostoevskij en su totalidad y sistematizarlo, si bien proporcionaron muchos resultados utilizables para la futura sistemática.“
  • [1950-255] Bernhard Rang: Der Roman. Kleines Leserhandbuch, 1950; (2., erg.)1954 [neu aufgenommen] – [Monographie] - 1950: https://books.google.de/books?id=DcMfAQAAMAAJ; 1954: https://books.google.de/books?id=QpdIAAAAMAAJ; als Auszug unter dem Titel: Der weltanschauliche Roman, in: Welt und Wort. Literarische Monatsschrift, 6, 1951, S. 132 ff. - https://books.google.de/books?id=hitVAAAAYAAJ; zu Romano Guardini:
    • 1950, S. 60; 1951, S. 132; 1954, S. 53 f. „Und so treten in Dostojewskis Werk religiöse Gestalten uns vor Augen, wie sie in dieser Fülle und Spannweite bislang noch nicht romanhaft dargestellt waren. […]. In dem jüngsten der Brüder Karamasoff aber, in Aljoscha wird ein unbegreifliches Wunder noch einmal ihre angelische Welt selbst sichtbar, das „Bild des Cherubs“, wie es Guardini in seinem Buch „Religiöse Gestalten in Dostojewskis Werk“ gezeigt hat.“
  • [1950-256] Günther Schulemann: Rezension zu: Guardini, Religiöse Gestalten in Dostojewskijs Werk, in: Theologische Revue, Münster, 46, 1950, Sp. 159-161 [Mercker 3616] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-257] Bernhard Schultze: Russische Denker: ihre Stellung zu Christus, Kirche und Papsttum, 1950 [neu aufgenommen] – [Monographie] - https://books.google.de/books?id=47w_vjwlvsEC; zu Romano Guardini im Abschnitt zu: Fedor Michajlovi č Dostoevskij, S. 173-198, hier S. 179 f., 186
  • [1950-258] Wladimir Szylkarski: Rezension zu: Religiöse Gestalten in Dostojewskijs Werk, in: Erasmus. Speculum Scientarium, 3, 1949/50, (1950), S. 592 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=x-_yAAAAMAAJ


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Zu: Pascal (1932)/Rezensionen zu: Christliches Bewußtsein (1935)

  • [1950-259] Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Bayerisches Sonntagsblatt für die katholische Familie, München, 69, 1950, 48 (26. November 1950), S. 769 [Gerner 317] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-260] Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Begegnung, Köln, 5, 1950, 12, S. 335 [Gerner 317] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-261] Michael Jungo: Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, 5???, S. 510 [Mercker 2871, bei Mercker ohne Seitenzahl und mit Jahreszahl „1951, 5“ statt „1950“???] und [Gerner 317, bei Gerner ohne Au-torennennung, muss daher noch überprüft werden!!!] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ
  • [1950-262] Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Der Prediger und Katechet, Freiburg im Breisgau, 90, 1950/51, S. 122 [Gerner 317] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-263] M. Imfeld: Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Das neue Buch, Luzern, 12, 1950, S. 2-3 [Mercker 2870] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-264] Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Lebendige Seelsorge, Freiburg im Breisgau, 1, 1950, 6 (November), S. 191 [Gerner 317] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-265] Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Reutlinger General-Anzeiger, Reutlingen, 54/64, 1950, 181 (20. November 1960), S. 7 [Gerner 318] - [noch nicht online]
  • [1950-266] Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Seele, Regensburg, 26, 1950, 11, S. 348f. [Gerner 318] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-267] Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Stimmen der Zeit, Freiburg im Breisgau, 147. Bd., 1950/51, S. 236 [Gerner 318] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=6AxHAQAAIAAJ
  • [1950-268] Walter Warnach: Rezension zu: Guardini, Christliches Bewußtsein, in: Bücher-Schwann, Düsseldorf, 1950, Dezember, S. 25 [Mercker 2884] - [Rezension] - [noch nicht online]


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Zu: Hölderlin (1935)

  • [1950-269] Eduard Lachmann: Rezension zu: Przywara, Hölderlin, in: Wort und Wahrheit, 5, 1950, S. 953 f. [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=RoWJPN_fpaUC; zu Romano Guardini:
    • S. 953: „Einen anderen Weg ging Heidegger, sozusagen in die Tiefe des Wortgesteins. In katholischer Sicht hat Guardini die Transzendenz in Hölderlins Naturbildern aufgedeckt und seine griechischen Götterbilder als Numina des Ewigen gedeutet. Nun tritt Erich Przywara mit seinem Buch: „Hölderlin“ (Verlag Glock und Lutz, Nürnberg, 1949) auf den Plan. Przywara stellt dem hellenischen einen johanneisch-apokalyptischen Hölderlin gegenüber, den er schon in einer Jugenddichtung, dem Lobgesang an den Herrn aller Welten mitten im Grauen der Weltgeschichte erkennt.“
  • [1950-270] Marianne Schultes: Hölderlin - Christus - Welt. Ein Deutungsversuch, Krailling 1950, zu Romano Guardini S. 151f. [Gerner 176] - [Monographie] - https://books.google.de/books?id=kZxJAAAAMAAJ


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Zu: Rilke (1941)/Rezensionen zu: Rainer Maria Rilkes Deutung des Daseins (1941/1953)


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Zu: Über das Wesen des Kunstwerks (1947)

  • [1950-277] Werner Haftmann: Guardinis Deutung des Kunstwerkes (Vortragsbericht), in: Die Neue Zeitung, München, 6, 1950, 167 (17. Juli 1950), S. 4 [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]
  • [1950-278] „Über das Wesen der Kunst“, in: Süddeutsche Zeitung, München, 6, 1950, 162 (17. Juli 1950), S. 3 [Gerner 265] - [Artikel] - [noch nicht online]


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Sammelbände

Rezensionen zu: In Spiegel und Gleichnis (1932)

  • [1950-279] (Michael Jungo): Rezension zu: Guardini, In Spiegel und Gleichnis, in: Benediktinische Monatsschrift, Beuron, 26, 1950, S. 510 [Gerner 364] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=jgEUAAAAIAAJ
  • [1950-280] Franz Xaver Gerstner: Rezension zu: Guardini, In Spiegel und Gleichnis, in: Klerusblatt, Eichstätt, 30, 1950, 24, 15. Dezember, S. 416 [Mercker 3436] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-281] Rezension zu: Guardini, In Spiegel und Gleichnis, in: Lebendige Seelsorge, Freiburg im Breisgau, 1, 1950, 6 (November), S. 191 [Gerner 364] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-282] Rezension zu: Guardini, In Spiegel und Gleichnis, in: Oberrheinisches Pastoralblatt, Karlsruhe, 51, 1950, S. 335 [Gerner 364] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-283] Rezension zu: Guardini, In Spiegel und Gleichnis, in: Petrusblatt, Berlin, 6, 1950, 50 (10. Dezember 1950), S. 11 [Gerner 364] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1950-284] Rezension zu: Guardini, In Spiegel und Gleichnis, in: Seele, Regensburg, 26, 1950, S. 397 [Gerner 364] - [Rezension] - [noch nicht online]


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